Sterven in Stijl (Mourir avec Style) est un solo de Hans Bryssinck et Dolores Bouckaert. Sterven in Stijl montre une actrice qui, à travers plusieurs « scènes de trépas », s’interroge sur la vie. Fragments de souvenirs, amours perdues et une dernière confession.
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Un homme et une femme sont dans une situation de dépendance absolue. Homme et femme sont visibles l’un à l’autre. Ils exécutent leurs mouvements dans une répétition en boucle. Ces mouvements sont déconstruits et mécaniquement manipulés. La machine les oblige à répéter parfaitement : ce qui les oblige à se faire mutuellement confiance. Ils sont laissés l’un à l’autre.
Un homme et une femme sont dans une situation de dépendance absolue. Homme et femme sont visibles l’un à l’autre. Ils exécutent leurs mouvements dans une répétition en boucle. Ces mouvements sont déconstruits et mécaniquement manipulés. La machine les oblige à répéter parfaitement : ce qui les oblige à se faire mutuellement confiance. Ils sont laissés l’un à l’autre.
Une lumière d’une puissance extrême brille dans un cube de 35cm x 35cm. Cette lumière omni-présente est si intense que le public doit se protéger les yeux avec des lunettes de sécurité.
Cette instlalation est construite en collaboration avec Philips Lighting Department. La plus grande source de lumière possible en terme de de chaleur, d’électricité usée est.. est placée dans un cube de verre. Deux son emplissent l’espace : un enregistrement d’un fragment de « Withed Shore » de Heiner Müller et le son amplifié de la machinerie qui fournit la lumière.
ARGUMENT DE BASE :
BOX a pour argument « la fin du monde » dans différentes variations : – L’Apocalypse comme idée chrétienne, avec de fortes images surréalistes. – Ou la réalité : les changements de climats dus à la pollution. L’Humain a évolué jusqu’à devenir un étranger à son propre milieu.
Une actrice reste pendant une heure sans bouger dans une vitrine d’exposition emplie d’eau. Par l’altération des sens que lui cause son environnement, elle entre en transe. Des microphones amplifient les bruits de sa respiration et de son mouvement.
Hans Bryssinck + Diederik Peeters + D. Anesiadou
Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…
Qu’est devenue le charme discret de la bourgeoisie? Dans leur pièce énigmatiquement intitulée « Chuck Norris Doesn’t Sleep, He Waits », Danai Anesiadou, Hans Bryssinck and Diederik Peeters incarnent chacun à leur tour la décadence comme icône cinématographique. Au centre de ce projet composé de tableaux vivants, aussi absurdes que strictement chorégraphiés, on trouve la représentation filmique de l’ennui aristocratique.
Dans « Chuck Norris.. », nos innocents protagonistes tombent dans un labyrinthe infernal de codes archaïques et de rituels hermétiques, un tunnel sans fin d’antiques et grotesques horreurs passées en boucle. Une mise en scène chaudement recommandée de l’effroyable quotidien.
En venant visiter Het Lichaamshof vous pouvez vous plonger le temps d’une histoire dans le monde secret d’une cabane, dans un lieu clos qui abrita les jeux apocalyptico érotique de deux jeunes filles habitée des fantômes de l’enfance. Het Lichaamshof est un espace halluciné où les mensonges d’une histoire semblent dire la vérité, et donnent le sentiment d’être en vie, même quand on croit être déjà mort. Une cabane où ces habitantes ont construit un monde sans autres points de référence que celles qu’abrite la cabane elle-même. La vie comme un jeu, ou l’on prend le risque d’enfiler des costumes de folies pour découvrir les paysages d’un jardin intérieur.
Rapidement après avoir suivi ses études au conservatoire de Liège, Manah Depauw monte avec Marijs Boulogne la compagnie Buelens Paulina. En parallèle à ses productions théâtrales Depauw construit des mondes miniature dans des boîtes à cigares, fait des collages, coud et brode des bêtes étranges, etc. En 2005 elle présente l’installation Magic Box et réalise la vidéo Dressing Room. Het Lichaamshof est le deuxième projet dans la série qu’elle a commencé avec Magic Box. Une recherche autour de l’intimité, la folie cachée, et l’érotisme féminin.
Pour Project 2 , PONI se penche sur le théâtre. Les mots-clés de cette performance sont : Rituel, Illusion et Mort. Comment démantèle-t-on les rituels et les obsessions du théâtre ? Que reste-t-il des thèmes classiques, des codes et des astuces ? À quoi sert le rideau ? Et si le théâtre faisait du strip-tease ? À quelles illusions persistons-nous à croire coûte que coûte? En bref, PONI en duel avec le théâtre dans un spectacle hybride qui marie l’art de la performance, la musique en direct, la danse et le théâtre
En venant visiter Het Lichaamshof vous pouvez vous plonger le temps d’une histoire dans le monde secret d’une cabane, dans un lieu clos qui abrita les jeux apocalyptico érotique de deux jeunes filles habitée des fantômes de l’enfance. Het Lichaamshof est un espace halluciné où les mensonges d’une histoire semblent dire la vérité, et donnent le sentiment d’être en vie, même quand on croit être déjà mort. Une cabane où ces habitantes ont construit un monde sans autres points de référence que celles qu’abrite la cabane elle-même. La vie comme un jeu, ou l’on prend le risque d’enfiler des costumes de folies pour découvrir les paysages d’un jardin intérieur.
Rapidement après avoir suivi ses études au conservatoire de Liège, Manah Depauw monte avec Marijs Boulogne la compagnie Buelens Paulina. En parallèle à ses productions théâtrales Depauw construit des mondes miniature dans des boîtes à cigares, fait des collages, coud et brode des bêtes étranges, etc. En 2005 elle présente l’installation Magic Box et réalise la vidéo Dressing Room. Het Lichaamshof est le deuxième projet dans la série qu’elle a commencé avec Magic Box. Une recherche autour de l’intimité, la folie cachée, et l’érotisme féminin.
Un homme et une femme sont dans une situation de dépendance absolue. Homme et femme sont visibles l’un à l’autre. Ils exécutent leurs mouvements dans une répétition en boucle. Ces mouvements sont déconstruits et mécaniquement manipulés. La machine les oblige à répéter parfaitement : ce qui les oblige à se faire mutuellement confiance. Ils sont laissés l’un à l’autre.
Les Stills se composent de projections gigantesques : des personnages sont emprisonnés dans un espace exigu. Ils cherchent, par d’infimes mouvements, à alléger le poids de leur situation. Still I & II a vu le jour en septembre 2006, à l’occasion de la La Notte Bianca à Rome. Les images y étaient projetées sur l’une des façades mégalomanes du quartier de l’EUR, que Mussolini fit bâtir dans la périphérie de Rome. La nudité et la fragilité des personnages, et la précarité de leur situation, contrastaient cruellement avec l’arrogance de cette architecture réaliste-socialiste. À Bruxelles, le choix d’un lieu aussi imposant et nourri de démagogie s’est porté sur le haut du Mont des Arts.
Un disque de meulage avec un grand L en acier est suspendu au plafond. Quand le disque se met à tourner, le L tourbillonne de façon incontrôlée. Le moteur s’emballe mais il cherche toujours son équilibre, cherche toujours à fonctionner malgré l’étrangeté de la situation. Cette quête échappe à la fonction de la machine qui revêt des allures d’un héros classique en détresse. Le mouvement fait croître cette situation de plus en plus insoutenable.
Los Viernes was scripted as one full day of urban experiences throughout Mexico-City; driving around, meeting people, giving lectures in universities, doing guided museum tours etc. On Friday the 21st Bryssinck & Peeters acted out the script and turned it into a performative experience. Exactly one week later, on Friday the 28th they tried to re-enact this original day as literally and as precisely as possible. They took the same taxi to meet the same people wearing the same clothes at exactly the same time in the same place to have the same conversations and so on. In other words: an attempt to meticulously copy 24 hours of metropolitan and urban reality.
In the video documenting this attempt the two main characters and their collaborators are fighting impossible fights both with the chaotic surroundings and with time itself. The question arises as to what status a fake day like ‘Friday the second’ should really be accorded, whether it can be robbed of its uniqueness and can be called fake at all. Thus Los Viernes ponders on the true nature or value of performance, documentation and film and it haughtily questions the supposedly singular nature of time’s arrow that unquestionably and unstoppably moves forward and onward.
Los Viernes was made for a group exhibition Storage and Display in Programa Art Center in Mexico City in February 2003, curated by Dieter Roelstraete from the MUHKA museum in Antwerp, Roger Willems and Iñaki Bonillas
Un homme et une femme sont dans une situation de dépendance absolue. Homme et femme sont visibles l’un à l’autre. Ils exécutent leurs mouvements dans une répétition en boucle. Ces mouvements sont déconstruits et mécaniquement manipulés. La machine les oblige à répéter parfaitement : ce qui les oblige à se faire mutuellement confiance. Ils sont laissés l’un à l’autre.
Pour Project 2 , PONI se penche sur le théâtre. Les mots-clés de cette performance sont : Rituel, Illusion et Mort. Comment démantèle-t-on les rituels et les obsessions du théâtre ? Que reste-t-il des thèmes classiques, des codes et des astuces ? À quoi sert le rideau ? Et si le théâtre faisait du strip-tease ? À quelles illusions persistons-nous à croire coûte que coûte? En bref, PONI en duel avec le théâtre dans un spectacle hybride qui marie l’art de la performance, la musique en direct, la danse et le théâtre
Pour Project 2 , PONI se penche sur le théâtre. Les mots-clés de cette performance sont : Rituel, Illusion et Mort. Comment démantèle-t-on les rituels et les obsessions du théâtre ? Que reste-t-il des thèmes classiques, des codes et des astuces ? À quoi sert le rideau ? Et si le théâtre faisait du strip-tease ? À quelles illusions persistons-nous à croire coûte que coûte? En bref, PONI en duel avec le théâtre dans un spectacle hybride qui marie l’art de la performance, la musique en direct, la danse et le théâtre
All Natural clignote entre la ‘stand-up comedy’ et la routine des show de Las Vegas.
La Showgirl semble émerger de mois perdus dans la forêt. Boueuse, échevelée et plus animale qu’humaine, ses excuses, promesses et soudaines explosions glissent et s’entremêlent les unes aux autres.
All Natural a commencé par une recherche au cœur de ce mythe branlant du ‘naturel’ – et de notre désir effréné de cela en tout – de la nourriture à la personnalité.
All Natural finit en jetant un trouble sur l’authenticité de la scène et des contacts sociaux en général. Comme si nous pouvions faire confiance à nos instincts, pourtant profondément enterrés et déformés, pour nous sortir de ce trouble.
Les Stills se composent de projections gigantesques : des personnages sont emprisonnés dans un espace exigu. Ils cherchent, par d’infimes mouvements, à alléger le poids de leur situation. Still I & II a vu le jour en septembre 2006, à l’occasion de la La Notte Bianca à Rome. Les images y étaient projetées sur l’une des façades mégalomanes du quartier de l’EUR, que Mussolini fit bâtir dans la périphérie de Rome. La nudité et la fragilité des personnages, et la précarité de leur situation, contrastaient cruellement avec l’arrogance de cette architecture réaliste-socialiste. À Bruxelles, le choix d’un lieu aussi imposant et nourri de démagogie s’est porté sur le haut du Mont des Arts.
Crystalll a d’abord été créée pour une situation théâtrale
« classique » (boîte noire), se référant directement à l’histoire des
représentations scéniques de corps féminins, et utilisant des effets de
lumière pour mettre l’accent sur l’apparence magique d’un « être
exceptionnel ».
Pour Project 2 , PONI se penche sur le théâtre. Les mots-clés de cette performance sont : Rituel, Illusion et Mort. Comment démantèle-t-on les rituels et les obsessions du théâtre ? Que reste-t-il des thèmes classiques, des codes et des astuces ? À quoi sert le rideau ? Et si le théâtre faisait du strip-tease ? À quelles illusions persistons-nous à croire coûte que coûte? En bref, PONI en duel avec le théâtre dans un spectacle hybride qui marie l’art de la performance, la musique en direct, la danse et le théâtre
Pour Project 2 , PONI se penche sur le théâtre. Les mots-clés de cette performance sont : Rituel, Illusion et Mort. Comment démantèle-t-on les rituels et les obsessions du théâtre ? Que reste-t-il des thèmes classiques, des codes et des astuces ? À quoi sert le rideau ? Et si le théâtre faisait du strip-tease ? À quelles illusions persistons-nous à croire coûte que coûte? En bref, PONI en duel avec le théâtre dans un spectacle hybride qui marie l’art de la performance, la musique en direct, la danse et le théâtre