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Quand un humour cru et cruel fait méticuleusement litière de l’histoire de l’homme ! Avec How do you like my landscape les artistes Bernard Van Eeghem et Manah Depauw redéfinissent avec une imagination aiguisée la place du corps humain dans nos sociétés en proie au puritanisme et au politiquement correct. A travers des manipulations déconcertantes par leur simplicité, les auteurs et performers Bernard Van Eeghem et Manah Depauw décontextualisent le corps humain, et le placent là où l’on n’attend pas qu’il soit. Ce spectacle en quatre épisodes se déroule autour d’un paysage où le calme apparent dissimule des bêtes redoutables capables de faire surgir en nous des désirs inavouables. Le public suit à travers les quatre épisodes un monde qui se transforme et évolue.

Le silence des danses, se compose de trois performances qu’elle montre dans trois espaces différents des Kaaistudio’s.

Avec Le silence des danses, Merlin Spie s’engage sur une nouvelle voie. Elle quitte le domaine de la plastique pure et veut amorcer une mise en regard avec d’autres médias : images numériques, paysages sonores, textes, danse, etc. Ce choix l’entraîne dans une organisation de travail différente, qui implique des collaborations avec des artistes actifs dans ces disciplines diverses. Qui plus est, Merlin Spie était jusqu’à présent la principale, et souvent l’unique, interprète de ses performances.
Dans les deux premières parties du Silence des danses, elle intervient en tant que metteure en scène-sculpteure des autres performeurs. Dans la troisième partie, elle est présente en personne. Cette nouvelle phase dans l’évolution de son œuvre signifie avant tout un nouveau pas dans sa quête de l’abstraction et de la pureté et une transition des images figées, immobiles et respirantes à des images en mouvement.
Le silence des danses embrasse l’abstraction et donne libre cours aux mouvements, sans perdre l’intuition.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

All Natural clignote entre la ‘stand-up comedy’ et la routine des show de Las Vegas.
La Showgirl semble émerger de mois perdus dans la forêt. Boueuse, échevelée et plus animale qu’humaine, ses excuses, promesses et soudaines explosions glissent et s’entremêlent les unes aux autres.
All Natural a commencé par une recherche au cœur de ce mythe branlant du ‘naturel’ – et de notre désir effréné de cela en tout – de la nourriture à la personnalité.
All Natural finit en jetant un trouble sur l’authenticité de la scène et des contacts sociaux en général. Comme si nous pouvions faire confiance à nos instincts, pourtant profondément enterrés et déformés, pour nous sortir de ce trouble.

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...

Video Installation
Lors d’une rencontre estivale, Kate McIntosh et Eva Meyer Keller en sont venue à jouer. Explorant la ville, de l’intérieur vers l’extérieur, elles ont construit de petites installations dans les lieux qu’elles ont découvert. Elles inventèrent un jeu de ping-pong d’images ou chaque action était comme un challenge et demandait que l’autre y réponde. Le résultat est une collection de courtes actions et d’improbables installations, un inventaire du monde en expansion continue par le dé-placement intentionnel de ce qui s’y trouve. Le projet est sans fin. Il y a une obstination et une avidité curieuse dans ce catalogue de petits écrasements, pièges, décorations et réparations – il y a une certaine logique interne qui peut être lue comme « placer les choses au mauvais endroit » et qui cependant satisfait une certaine curiosité, un certain désir, avant de rapidement passer au suivant. Les réarrangements sont subversifs, cryptiques et parfois fait de mystérieux re-arrangements de matériaux banals dans un environnement de tous les jours. Chaque image est un fragment d’une vision du monde en compilation continue. Une recherche en relais de ce-qui-doit-aller-où, et de ce qu’il advient quand une « chose » en rencontre une autre.

This collaboration was the first stage of the FlashPoint project – a series of meetings in which Kate invites each time a different artist for a short collaboration.

Ses yeux sont écarquillés, sa bouche ouverte, ses ailes déployées. Tel est l’aspect que doit avoir nécessairement l’ange de l’histoire. Il a le visage tourné vers le passé. Où paraît devant nous une suite d’événements, il ne voit qu’une seule et unique catastrophe, qui ne cesse d’amonceler ruines sur ruines et les jette à ses pieds. Il voudrait bien s’attarder, réveiller les morts et rassembler les vaincus. Mais du paradis souffle une tempête qui s’est prise dans ses ailes, si forte que l’ange ne peut plus les refermer. Cette tempête le pousse incessamment vers l’avenir auquel il tourne le dos, cependant que jusqu’au ciel devant lui s’accumulent les ruines. Cette tempête est ce que nous appelons le progrès. (Walter Benjamin, Angelus Novus )

Le moteur à combustion, ou son utilisation toutefois, porte une responsabilité majeure dans la crise climatique. Kris Verdonck montre le moteur dans toute sa nudité et cherche ainsi à créer un face à face entre éthique et esthétique.

Irma Firma, accompagnée de quinze participants, passe les quartiers au peigne fin, en quête de ce que l’on y trouve de comestible. Comment survivre savoureusement et à satiété dans une métropole avec les ingrédients que celle-ci nous propose ? Chasser, cueillir et goûter !

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...

Dans son fantasmagorique ‘Thriller…’ Diederik Peeters questionne notre regard sur la réalité qui nous entoure. Il s’étonne de la fragile cohérence de nos impressions, et du fait qu’en dépit de cela, nous parvenions malgré tout à faire se succéder nos actions d’une manière apparemment logique.

‘Thriller…’ se présente à nous comme un sitcom sinistre, qui n’arrive pas à démarrer. Le personnage principal que nous retrouvons dans sa chambre, semble bel et bien au début d’une histoire. Mais aussi tôt il se perd dans les échos et répétitions de ses actions. L’histoire et le décor se dissolvent et le mystère et le hasard engloutissent notre personnage. Et dans cette réalité en pleine fragmentation, le temps même ne semble plus servir à grand chose, sauf à éviter que tout se passe en même temps.

Kris Verdonck œuvre à la lisière entre les arts plastiques et le théâtre. Dans END, il imagine en dix tableaux la phase finale de la société humaine. L’apocalypse… Des glaciers en train de fondre, des forêts en flammes, des villes immergées, l’omniprésence d’écrans et de caméras de surveillance, la prolifération d’armes de destruction massive…

Les images que les médias projettent quotidiennement sur notre rétine forment le point de départ de END. Les dix tableaux sont liés par le monologue d’un unique personnage : celui qui a assisté à tout. Tandis que ce survivant – tel le messager de la tragédie grecque – déverse ses paroles, surgissent une série de « Figuren » : des machines, des hommes ou des hybrides situés quelque part entre les deux. Elles se déplacent d’un côté à l’autre de la scène, toujours dans la même direction. Sont-elles en fuite ? Et où vont-elles ?

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...

One Man Snow est un late night show dans lequel l’artiste est hanté par son passé révolu. Il revit des moments d’une autre carrière de showbiz, il rêve d’un spectacle que lui-même aurait aimé voir. Il y a des fantasmes et de la paranoïa. Hanté par les fantômes du divertissement, il pénètre le spectacle de ses cauchemars absurdes. Il attend secrètement un invité spécial, il espère entendre un big band, mais tout ce qu’il en a, c’est l’odeur. One Man Snow est un project de Hans Bryssinck et Christoph Hefti.

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...

Video Installation
Lors d’une rencontre estivale, Kate McIntosh et Eva Meyer Keller en sont venue à jouer. Explorant la ville, de l’intérieur vers l’extérieur, elles ont construit de petites installations dans les lieux qu’elles ont découvert. Elles inventèrent un jeu de ping-pong d’images ou chaque action était comme un challenge et demandait que l’autre y réponde. Le résultat est une collection de courtes actions et d’improbables installations, un inventaire du monde en expansion continue par le dé-placement intentionnel de ce qui s’y trouve. Le projet est sans fin. Il y a une obstination et une avidité curieuse dans ce catalogue de petits écrasements, pièges, décorations et réparations – il y a une certaine logique interne qui peut être lue comme « placer les choses au mauvais endroit » et qui cependant satisfait une certaine curiosité, un certain désir, avant de rapidement passer au suivant. Les réarrangements sont subversifs, cryptiques et parfois fait de mystérieux re-arrangements de matériaux banals dans un environnement de tous les jours. Chaque image est un fragment d’une vision du monde en compilation continue. Une recherche en relais de ce-qui-doit-aller-où, et de ce qu’il advient quand une « chose » en rencontre une autre.

This collaboration was the first stage of the FlashPoint project – a series of meetings in which Kate invites each time a different artist for a short collaboration.

Dans son fantasmagorique ‘Thriller…’ Diederik Peeters questionne notre regard sur la réalité qui nous entoure. Il s’étonne de la fragile cohérence de nos impressions, et du fait qu’en dépit de cela, nous parvenions malgré tout à faire se succéder nos actions d’une manière apparemment logique.

‘Thriller…’ se présente à nous comme un sitcom sinistre, qui n’arrive pas à démarrer. Le personnage principal que nous retrouvons dans sa chambre, semble bel et bien au début d’une histoire. Mais aussi tôt il se perd dans les échos et répétitions de ses actions. L’histoire et le décor se dissolvent et le mystère et le hasard engloutissent notre personnage. Et dans cette réalité en pleine fragmentation, le temps même ne semble plus servir à grand chose, sauf à éviter que tout se passe en même temps.

‘Dump’ fait partie de la série ‘Stills’ que l’artiste et metteur en scène Kris Verdonck a commencé à créer en septembre 2006 : une collection d’installations vidéo, qui a été augmentée depuis. ‘still’ fait référence à une image fixe tirée d’un film : une image en mouvement portée à l’arrêt. On pourrait dire que les ‘Stills’ de Kris Verdonck sont des images animées/en mouvement qui sont projetées dans des dimensions gigantesques et en général dans un espace public. Le caractère impressionnant de la projection est toujours à l’opposé de ce qui est montré sur l’image elle-même : ce sont toujours des figures humaines qui sont coincées entre les murs de l’image. Elles se trouvent dans une situation précaire et absurde mais tentent de la régler. Elles essaient d’améliorer leur position inconfortable et de la maintenir en faisant de petits mouvements.

« Dump » nous montre l’image fixe d’un homme d’affaires ‘jeté’. L’image de l’homme distingué en costume plongé dans une situation absurde, mais qui tente toutefois de retrouver son honneur revient régulièrement dans le travail de Kris Verdonck. Dans ‘Dump’, cet homme d’affaires se retrouve comme un mouchoir froissé, jeté dans un coin de l’image et tente désespérément de se donner une certaine prestance.
« Dump » est une métaphore directe d’un homme rejeté, d’une personne déchue d’une position sociale prestigieuse. Comme quelqu’un qui perd sa fortune dans un krach boursier, rejeté du système, mais ne réalisant pas tout à fait ce qu’il lui est arrivé. Une créature en détresse dans toute sa vulnérabilité.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Pour fair court: C’est l’histoire d’une femme, d’un chasseur, d’une lame de rasoir, d’une maladie, et d’un anti-douleur … À un certain moment, il y a de la violence domestique … Mais c’est seulement à la fin que le sang gicle de tous les côtés … comme les fontaines à Genève.

« Thank goodness hunter Johnson was on the watch! Not only that was good news. As it happened the hunter carried around a true painkiller in his pocket. Not one of those small powders but a proper pill. So he decides to rescue her.

Like a crazy maniac Johnson leaps out of his hiding place; and even before she gets a chance to turn her head and look at him, he has already inserted his painkiller deeply from behind. And that makes her feel better… »

Manah Depauw + Jen Debauche

Gemini

Jen Debauche et Manah Depauw on réalisé ensemble Gemini, un court métrage tourner en super 8 dans les bois de Mesy durant l’été 2009. Dans ce film une femme entre en duel avec son double, ensemble elles parcourent une forêt à la recherche d’un champ de repos idéal. Gemini intrigue par son caractère surréaliste, aussi étrange et sombre qu’une forêt à la tombée du jour.

Alix Eynaudi + Agata Maszkiewicz

The visitants

A sensual discovery of the world by two alien girls and some strange encounters…
« Le corps reflète le volet physique de la personnalité et le mouvement révèle la personnalité », déclara Starks Whitehouse qui développa la technique ‘Authentic Movement’ dans les années ’50. The Visitants invite le public, de manière ludique, a être témoin du ‘voyage intérieur’ effectué par les interprètes.

The Visitants propose au spectateur d'assister à ce 'voyage intérieur' de deux interprètes, exposant une expérience intime (mouvement authentique) au regard de l'auditoire et pervertissant ainsi l'objectif principal de la technique en le transformant en une technique de performance. Dans ce film, une pratique thérapeutique est transformé en une pratique de la danse et, finalement, mettre en relation avec une autre pratique du corps: Le Body Building.Le public - après avoir regardé le film - est confronté à un groupe de body...

One Man Snow est un late night show dans lequel l’artiste est hanté par son passé révolu. Il revit des moments d’une autre carrière de showbiz, il rêve d’un spectacle que lui-même aurait aimé voir. Il y a des fantasmes et de la paranoïa. Hanté par les fantômes du divertissement, il pénètre le spectacle de ses cauchemars absurdes. Il attend secrètement un invité spécial, il espère entendre un big band, mais tout ce qu’il en a, c’est l’odeur. One Man Snow est un project de Hans Bryssinck et Christoph Hefti.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Irma Firma, accompagnée de quinze participants, passe les quartiers au peigne fin, en quête de ce que l’on y trouve de comestible. Comment survivre savoureusement et à satiété dans une métropole avec les ingrédients que celle-ci nous propose ? Chasser, cueillir et goûter !

Pour fair court: C’est l’histoire d’une femme, d’un chasseur, d’une lame de rasoir, d’une maladie, et d’un anti-douleur … À un certain moment, il y a de la violence domestique … Mais c’est seulement à la fin que le sang gicle de tous les côtés … comme les fontaines à Genève.

« Thank goodness hunter Johnson was on the watch! Not only that was good news. As it happened the hunter carried around a true painkiller in his pocket. Not one of those small powders but a proper pill. So he decides to rescue her.

Like a crazy maniac Johnson leaps out of his hiding place; and even before she gets a chance to turn her head and look at him, he has already inserted his painkiller deeply from behind. And that makes her feel better… »

Jen Debauche et Manah Depauw on réalisé ensemble Gemini, un court métrage tourner en super 8 dans les bois de Mesy durant l’été 2009. Dans ce film une femme entre en duel avec son double, ensemble elles parcourent une forêt à la recherche d’un champ de repos idéal. Gemini intrigue par son caractère surréaliste, aussi étrange et sombre qu’une forêt à la tombée du jour.

Dans ses Safety Instructions Hans Bryssinck donne des discours dans lesquels il essaie de dire quelque chose de véritable. Parce qu’il craint de dire la vérité et parce qu’il craint la solitude, il convie un invité et un objet ou une machine qui leur soit lié. Cela peut varier des motards (moto), aux cyclistes (vélo), aux jardiniers (tronçonneuse) jusqu’à des concierges (aspirateur). La dynamique qui se crée entre le discours et les invités avec leur machine, décrit la difficulté de dire et d’entendre la vérité. Ce sont des performances courtes et spontanées qui sont adaptées en fonction du contexte. L’espace, les invités et le contenu du discours peut varier.

Pour fair court: C’est l’histoire d’une femme, d’un chasseur, d’une lame de rasoir, d’une maladie, et d’un anti-douleur … À un certain moment, il y a de la violence domestique … Mais c’est seulement à la fin que le sang gicle de tous les côtés … comme les fontaines à Genève.

« Thank goodness hunter Johnson was on the watch! Not only that was good news. As it happened the hunter carried around a true painkiller in his pocket. Not one of those small powders but a proper pill. So he decides to rescue her.

Like a crazy maniac Johnson leaps out of his hiding place; and even before she gets a chance to turn her head and look at him, he has already inserted his painkiller deeply from behind. And that makes her feel better… »

Hoe een brein werkt. Een kunstenaar zijn taal zoekt. Een ambacht een middel wordt. Een mens probeert te begrijpen.
De onderzoeksmethode van Leentje Vandenbussche leunt aan de waanzin. Aan de hand van verschillende monnikenwerken zocht ze naar een houvast in de weidse onderwerpen alles en niets. Gedragen (/onderworpen) door een isolaat, monotoom ritme leveren haar onderzoekstudies intrigerende resultaten.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Kris Verdonck

Syncope

Contour LightMechelen, Belgium

The body of a giant floats on the water, his face turned down. It moves slightly, but whether the movement is the result of his breathing or of the water rippling it’s hard to tell. The image is ambiguous: dead as well as alive, both serene and billowed, blissful or perhaps dead drunk. Who is he? Who has dumped him here?

Dans ses Safety Instructions Hans Bryssinck donne des discours dans lesquels il essaie de dire quelque chose de véritable. Parce qu’il craint de dire la vérité et parce qu’il craint la solitude, il convie un invité et un objet ou une machine qui leur soit lié. Cela peut varier des motards (moto), aux cyclistes (vélo), aux jardiniers (tronçonneuse) jusqu’à des concierges (aspirateur). La dynamique qui se crée entre le discours et les invités avec leur machine, décrit la difficulté de dire et d’entendre la vérité. Ce sont des performances courtes et spontanées qui sont adaptées en fonction du contexte. L’espace, les invités et le contenu du discours peut varier.

Le silence des danses, se compose de trois performances qu’elle montre dans trois espaces différents des Kaaistudio’s.

Avec Le silence des danses, Merlin Spie s’engage sur une nouvelle voie. Elle quitte le domaine de la plastique pure et veut amorcer une mise en regard avec d’autres médias : images numériques, paysages sonores, textes, danse, etc. Ce choix l’entraîne dans une organisation de travail différente, qui implique des collaborations avec des artistes actifs dans ces disciplines diverses. Qui plus est, Merlin Spie était jusqu’à présent la principale, et souvent l’unique, interprète de ses performances.
Dans les deux premières parties du Silence des danses, elle intervient en tant que metteure en scène-sculpteure des autres performeurs. Dans la troisième partie, elle est présente en personne. Cette nouvelle phase dans l’évolution de son œuvre signifie avant tout un nouveau pas dans sa quête de l’abstraction et de la pureté et une transition des images figées, immobiles et respirantes à des images en mouvement.
Le silence des danses embrasse l’abstraction et donne libre cours aux mouvements, sans perdre l’intuition.

Pour fair court: C’est l’histoire d’une femme, d’un chasseur, d’une lame de rasoir, d’une maladie, et d’un anti-douleur … À un certain moment, il y a de la violence domestique … Mais c’est seulement à la fin que le sang gicle de tous les côtés … comme les fontaines à Genève.

« Thank goodness hunter Johnson was on the watch! Not only that was good news. As it happened the hunter carried around a true painkiller in his pocket. Not one of those small powders but a proper pill. So he decides to rescue her.

Like a crazy maniac Johnson leaps out of his hiding place; and even before she gets a chance to turn her head and look at him, he has already inserted his painkiller deeply from behind. And that makes her feel better… »

I/II/III/IIII est une nouvelle installation théâtrale du metteur en scène/plasticien Kris Verdonck. Quatre danseuses « identiques » sont suspendues à une grande « machine », telles des marionnettes. Ensemble, l’artiste de performance Kris Verdonck et les performeuses ont créé une chorégraphie : un solo, un duo, un trio et un pas de quatre. Ils ont tenté de se libérer le plus possible de la machine, mais tôt ou tard celle-ci les mène quand même dans une direction qu’elle a déterminée. Les images qu’évoque I/II/III/IIII sont déroutantes, stratifiées et ambiguës : elles nous rappellent les palmipèdes blancs du Lac des Cygnes, mais elles font aussi penser à des carcasses animales, à des anges flottants, à des corps humains s’écroulant et à tout ce que l’on peut imaginer d’intermédiaire.

Pour fair court: C’est l’histoire d’une femme, d’un chasseur, d’une lame de rasoir, d’une maladie, et d’un anti-douleur … À un certain moment, il y a de la violence domestique … Mais c’est seulement à la fin que le sang gicle de tous les côtés … comme les fontaines à Genève.

« Thank goodness hunter Johnson was on the watch! Not only that was good news. As it happened the hunter carried around a true painkiller in his pocket. Not one of those small powders but a proper pill. So he decides to rescue her.

Like a crazy maniac Johnson leaps out of his hiding place; and even before she gets a chance to turn her head and look at him, he has already inserted his painkiller deeply from behind. And that makes her feel better… »

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...

Video Installation
Lors d’une rencontre estivale, Kate McIntosh et Eva Meyer Keller en sont venue à jouer. Explorant la ville, de l’intérieur vers l’extérieur, elles ont construit de petites installations dans les lieux qu’elles ont découvert. Elles inventèrent un jeu de ping-pong d’images ou chaque action était comme un challenge et demandait que l’autre y réponde. Le résultat est une collection de courtes actions et d’improbables installations, un inventaire du monde en expansion continue par le dé-placement intentionnel de ce qui s’y trouve. Le projet est sans fin. Il y a une obstination et une avidité curieuse dans ce catalogue de petits écrasements, pièges, décorations et réparations – il y a une certaine logique interne qui peut être lue comme « placer les choses au mauvais endroit » et qui cependant satisfait une certaine curiosité, un certain désir, avant de rapidement passer au suivant. Les réarrangements sont subversifs, cryptiques et parfois fait de mystérieux re-arrangements de matériaux banals dans un environnement de tous les jours. Chaque image est un fragment d’une vision du monde en compilation continue. Une recherche en relais de ce-qui-doit-aller-où, et de ce qu’il advient quand une « chose » en rencontre une autre.

This collaboration was the first stage of the FlashPoint project – a series of meetings in which Kate invites each time a different artist for a short collaboration.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Quand un humour cru et cruel fait méticuleusement litière de l’histoire de l’homme ! Avec How do you like my landscape les artistes Bernard Van Eeghem et Manah Depauw redéfinissent avec une imagination aiguisée la place du corps humain dans nos sociétés en proie au puritanisme et au politiquement correct. A travers des manipulations déconcertantes par leur simplicité, les auteurs et performers Bernard Van Eeghem et Manah Depauw décontextualisent le corps humain, et le placent là où l’on n’attend pas qu’il soit. Ce spectacle en quatre épisodes se déroule autour d’un paysage où le calme apparent dissimule des bêtes redoutables capables de faire surgir en nous des désirs inavouables. Le public suit à travers les quatre épisodes un monde qui se transforme et évolue.

Qu’est devenue le charme discret de la bourgeoisie? Dans leur pièce énigmatiquement intitulée « Chuck Norris Doesn’t Sleep, He Waits », Danai Anesiadou, Hans Bryssinck and Diederik Peeters incarnent chacun à leur tour la décadence comme icône cinématographique. Au centre de ce projet composé de tableaux vivants, aussi absurdes que strictement chorégraphiés, on trouve la représentation filmique de l’ennui aristocratique.
Dans « Chuck Norris.. », nos innocents protagonistes tombent dans un labyrinthe infernal de codes archaïques et de rituels hermétiques, un tunnel sans fin d’antiques et grotesques horreurs passées en boucle. Une mise en scène chaudement recommandée de l’effroyable quotidien.

Entre danse et installation plastique, la déconstruction de l’image féminine constitue l’argument de Specchi, deux variations sur « la femme coupée en morceaux» . Il s’agit de démonter ici le mécanisme de l’illusion, de l’extrapoler en le mettant à vue, à travers l’utilisation de miroirs qui découpent, disloquent, déréalisent; de boites qui contiennent, cadrent, absorbent.

« Ce qui m’intéresse c’est de produire des formes tronquées par rapport à l’image et à la composition. Le miroir, c’est la création de formes irréelles, hors de l’immédiateté des corps. La boîte est sa négation: des contenants qui opèrent une réduction du mouvement en bas-relief ».
Cette mise à distance visuelle produit une tension émotive spécifique, une sorte de mise en abîme du regard, de vibration du « présent scénique ». Les interprètes féminines interrogent le regard porté par le spectateur sur leurs corps et questionnent l’iconographie collective pour ouvrir des brèches poétiques inédites.

A sensual discovery of the world by two alien girls and some strange encounters…
« Le corps reflète le volet physique de la personnalité et le mouvement révèle la personnalité », déclara Starks Whitehouse qui développa la technique ‘Authentic Movement’ dans les années ’50. The Visitants invite le public, de manière ludique, a être témoin du ‘voyage intérieur’ effectué par les interprètes.

The Visitants propose au spectateur d'assister à ce 'voyage intérieur' de deux interprètes, exposant une expérience intime (mouvement authentique) au regard de l'auditoire et pervertissant ainsi l'objectif principal de la technique en le transformant en une technique de performance. Dans ce film, une pratique thérapeutique est transformé en une pratique de la danse et, finalement, mettre en relation avec une autre pratique du corps: Le Body Building.Le public - après avoir regardé le film - est confronté à un groupe de body...

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...

Un homme et une femme sont dans une situation de dépendance absolue. Homme et femme sont visibles l’un à l’autre. Ils exécutent leurs mouvements dans une répétition en boucle. Ces mouvements sont déconstruits et mécaniquement manipulés. La machine les oblige à répéter parfaitement : ce qui les oblige à se faire mutuellement confiance. Ils sont laissés l’un à l’autre.

Pour fair court: C’est l’histoire d’une femme, d’un chasseur, d’une lame de rasoir, d’une maladie, et d’un anti-douleur … À un certain moment, il y a de la violence domestique … Mais c’est seulement à la fin que le sang gicle de tous les côtés … comme les fontaines à Genève.

« Thank goodness hunter Johnson was on the watch! Not only that was good news. As it happened the hunter carried around a true painkiller in his pocket. Not one of those small powders but a proper pill. So he decides to rescue her.

Like a crazy maniac Johnson leaps out of his hiding place; and even before she gets a chance to turn her head and look at him, he has already inserted his painkiller deeply from behind. And that makes her feel better… »

Kris Verdonck œuvre à la lisière entre les arts plastiques et le théâtre. Dans END, il imagine en dix tableaux la phase finale de la société humaine. L’apocalypse… Des glaciers en train de fondre, des forêts en flammes, des villes immergées, l’omniprésence d’écrans et de caméras de surveillance, la prolifération d’armes de destruction massive…

Les images que les médias projettent quotidiennement sur notre rétine forment le point de départ de END. Les dix tableaux sont liés par le monologue d’un unique personnage : celui qui a assisté à tout. Tandis que ce survivant – tel le messager de la tragédie grecque – déverse ses paroles, surgissent une série de « Figuren » : des machines, des hommes ou des hybrides situés quelque part entre les deux. Elles se déplacent d’un côté à l’autre de la scène, toujours dans la même direction. Sont-elles en fuite ? Et où vont-elles ?

Pour fair court: C’est l’histoire d’une femme, d’un chasseur, d’une lame de rasoir, d’une maladie, et d’un anti-douleur … À un certain moment, il y a de la violence domestique … Mais c’est seulement à la fin que le sang gicle de tous les côtés … comme les fontaines à Genève.

« Thank goodness hunter Johnson was on the watch! Not only that was good news. As it happened the hunter carried around a true painkiller in his pocket. Not one of those small powders but a proper pill. So he decides to rescue her.

Like a crazy maniac Johnson leaps out of his hiding place; and even before she gets a chance to turn her head and look at him, he has already inserted his painkiller deeply from behind. And that makes her feel better… »

Los Viernes was scripted as one full day of urban experiences throughout Mexico-City; driving around, meeting people, giving lectures in universities, doing guided museum tours etc. On Friday the 21st Bryssinck & Peeters acted out the script and turned it into a performative experience. Exactly one week later, on Friday the 28th they tried to re-enact this original day as literally and as precisely as possible. They took the same taxi to meet the same people wearing the same clothes at exactly the same time in the same place to have the same conversations and so on. In other words: an attempt to meticulously copy 24 hours of metropolitan and urban reality.

In the video documenting this attempt the two main characters and their collaborators are fighting impossible fights both with the chaotic surroundings and with time itself. The question arises as to what status a fake day like ‘Friday the second’ should really be accorded, whether it can be robbed of its uniqueness and can be called fake at all. Thus Los Viernes ponders on the true nature or value of performance, documentation and film and it haughtily questions the supposedly singular nature of time’s arrow that unquestionably and unstoppably moves forward and onward.

Los Viernes was made for a group exhibition Storage and Display in Programa Art Center in Mexico City in February 2003, curated by Dieter Roelstraete from the MUHKA museum in Antwerp, Roger Willems and Iñaki Bonillas

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Pour fair court: C’est l’histoire d’une femme, d’un chasseur, d’une lame de rasoir, d’une maladie, et d’un anti-douleur … À un certain moment, il y a de la violence domestique … Mais c’est seulement à la fin que le sang gicle de tous les côtés … comme les fontaines à Genève.

« Thank goodness hunter Johnson was on the watch! Not only that was good news. As it happened the hunter carried around a true painkiller in his pocket. Not one of those small powders but a proper pill. So he decides to rescue her.

Like a crazy maniac Johnson leaps out of his hiding place; and even before she gets a chance to turn her head and look at him, he has already inserted his painkiller deeply from behind. And that makes her feel better… »

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Un homme et une femme sont dans une situation de dépendance absolue. Homme et femme sont visibles l’un à l’autre. Ils exécutent leurs mouvements dans une répétition en boucle. Ces mouvements sont déconstruits et mécaniquement manipulés. La machine les oblige à répéter parfaitement : ce qui les oblige à se faire mutuellement confiance. Ils sont laissés l’un à l’autre.

Hans Bryssinck + Diederik Peeters

Los Viernes

BRXLBRAVO 2009Brussel, Belgium

Los Viernes was scripted as one full day of urban experiences throughout Mexico-City; driving around, meeting people, giving lectures in universities, doing guided museum tours etc. On Friday the 21st Bryssinck & Peeters acted out the script and turned it into a performative experience. Exactly one week later, on Friday the 28th they tried to re-enact this original day as literally and as precisely as possible. They took the same taxi to meet the same people wearing the same clothes at exactly the same time in the same place to have the same conversations and so on. In other words: an attempt to meticulously copy 24 hours of metropolitan and urban reality.

In the video documenting this attempt the two main characters and their collaborators are fighting impossible fights both with the chaotic surroundings and with time itself. The question arises as to what status a fake day like ‘Friday the second’ should really be accorded, whether it can be robbed of its uniqueness and can be called fake at all. Thus Los Viernes ponders on the true nature or value of performance, documentation and film and it haughtily questions the supposedly singular nature of time’s arrow that unquestionably and unstoppably moves forward and onward.

Los Viernes was made for a group exhibition Storage and Display in Programa Art Center in Mexico City in February 2003, curated by Dieter Roelstraete from the MUHKA museum in Antwerp, Roger Willems and Iñaki Bonillas

Qu’est devenue le charme discret de la bourgeoisie? Dans leur pièce énigmatiquement intitulée « Chuck Norris Doesn’t Sleep, He Waits », Danai Anesiadou, Hans Bryssinck and Diederik Peeters incarnent chacun à leur tour la décadence comme icône cinématographique. Au centre de ce projet composé de tableaux vivants, aussi absurdes que strictement chorégraphiés, on trouve la représentation filmique de l’ennui aristocratique.
Dans « Chuck Norris.. », nos innocents protagonistes tombent dans un labyrinthe infernal de codes archaïques et de rituels hermétiques, un tunnel sans fin d’antiques et grotesques horreurs passées en boucle. Une mise en scène chaudement recommandée de l’effroyable quotidien.

Manah Depauw + Jen Debauche

Gemini

Jen Debauche et Manah Depauw on réalisé ensemble Gemini, un court métrage tourner en super 8 dans les bois de Mesy durant l’été 2009. Dans ce film une femme entre en duel avec son double, ensemble elles parcourent une forêt à la recherche d’un champ de repos idéal. Gemini intrigue par son caractère surréaliste, aussi étrange et sombre qu’une forêt à la tombée du jour.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Hoe een brein werkt. Een kunstenaar zijn taal zoekt. Een ambacht een middel wordt. Een mens probeert te begrijpen.
De onderzoeksmethode van Leentje Vandenbussche leunt aan de waanzin. Aan de hand van verschillende monnikenwerken zocht ze naar een houvast in de weidse onderwerpen alles en niets. Gedragen (/onderworpen) door een isolaat, monotoom ritme leveren haar onderzoekstudies intrigerende resultaten.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Hoe een brein werkt. Een kunstenaar zijn taal zoekt. Een ambacht een middel wordt. Een mens probeert te begrijpen.
De onderzoeksmethode van Leentje Vandenbussche leunt aan de waanzin. Aan de hand van verschillende monnikenwerken zocht ze naar een houvast in de weidse onderwerpen alles en niets. Gedragen (/onderworpen) door een isolaat, monotoom ritme leveren haar onderzoekstudies intrigerende resultaten.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Kris Verdonck œuvre à la lisière entre les arts plastiques et le théâtre. Dans END, il imagine en dix tableaux la phase finale de la société humaine. L’apocalypse… Des glaciers en train de fondre, des forêts en flammes, des villes immergées, l’omniprésence d’écrans et de caméras de surveillance, la prolifération d’armes de destruction massive…

Les images que les médias projettent quotidiennement sur notre rétine forment le point de départ de END. Les dix tableaux sont liés par le monologue d’un unique personnage : celui qui a assisté à tout. Tandis que ce survivant – tel le messager de la tragédie grecque – déverse ses paroles, surgissent une série de « Figuren » : des machines, des hommes ou des hybrides situés quelque part entre les deux. Elles se déplacent d’un côté à l’autre de la scène, toujours dans la même direction. Sont-elles en fuite ? Et où vont-elles ?

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Le moteur à combustion, ou son utilisation toutefois, porte une responsabilité majeure dans la crise climatique. Kris Verdonck montre le moteur dans toute sa nudité et cherche ainsi à créer un face à face entre éthique et esthétique.

Dans son fantasmagorique ‘Thriller…’ Diederik Peeters questionne notre regard sur la réalité qui nous entoure. Il s’étonne de la fragile cohérence de nos impressions, et du fait qu’en dépit de cela, nous parvenions malgré tout à faire se succéder nos actions d’une manière apparemment logique.

‘Thriller…’ se présente à nous comme un sitcom sinistre, qui n’arrive pas à démarrer. Le personnage principal que nous retrouvons dans sa chambre, semble bel et bien au début d’une histoire. Mais aussi tôt il se perd dans les échos et répétitions de ses actions. L’histoire et le décor se dissolvent et le mystère et le hasard engloutissent notre personnage. Et dans cette réalité en pleine fragmentation, le temps même ne semble plus servir à grand chose, sauf à éviter que tout se passe en même temps.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Dans le travail de l’artiste et metteur en scène Kris Verdonck, la relation entre l’homme et l’objet, entre l’être vivant et la matière est centrale. C’est également ce que l’on retrouve dans ACTOR #1.

La première partie, MASS, donne à voir un paysage poétique étrange, résultat de processus chimiques et physiques. Un paysage de brumes sculptées qui bougent sans cesse.
Dans HUMINID nous sommes interpellé par un être que l’on dirait à moitié homme et à moitié poupée. Le comédien Johan Leysen n’est pas sur scène mais il a prêté sa voix et son visage au texte. Huminid: ou comment un « être » peut devenir un « homme » par le biais de la langue.
Dans DANCER #3 on voit un robot qui tente de se tenir droit ; il tombe sans cesse mais n’abandonne pas. Joyeux et infatigable, il persiste dans son processus d’essais et erreurs. Son énergie et sa maladresse rayonnent de l’optimisme d’un clown qui à chaque pas trébuche.
ACTOR #1 parle de ‘devenir’: de ce qui est a été créé, de ce qui est créé et de ce qui pourrait être créé.
Trois variations sur le passage du chaos à l’ordre.
Les trois parties du spectacle – les installations/performances MASS, HUMINID et DANCER #3 – sont présentées dans des espaces différents du Kaaistudio’s.

c'est une pièce faite avec amour. c'est un cas pour témoins visuels inversés. c'est une pièce de danse avec deux reporters de danse, des chaussures bruyantes et un poème, qui essaient de s'accorder. c'est un duo qui cherche des moyens de locomotion entre dimensions. c'est une pièce de danse qui traverse plusieurs manières de faire et de regarder des paysages de danse. c'est un grand écart. c'est une machine à voyager qui teste des relations au sens large du terme. c'est une mauvaise interprétation d'un duo, chorégraphié par deux...

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Dans le travail de l’artiste et metteur en scène Kris Verdonck, la relation entre l’homme et l’objet, entre l’être vivant et la matière est centrale. C’est également ce que l’on retrouve dans ACTOR #1.

La première partie, MASS, donne à voir un paysage poétique étrange, résultat de processus chimiques et physiques. Un paysage de brumes sculptées qui bougent sans cesse.
Dans HUMINID nous sommes interpellé par un être que l’on dirait à moitié homme et à moitié poupée. Le comédien Johan Leysen n’est pas sur scène mais il a prêté sa voix et son visage au texte. Huminid: ou comment un « être » peut devenir un « homme » par le biais de la langue.
Dans DANCER #3 on voit un robot qui tente de se tenir droit ; il tombe sans cesse mais n’abandonne pas. Joyeux et infatigable, il persiste dans son processus d’essais et erreurs. Son énergie et sa maladresse rayonnent de l’optimisme d’un clown qui à chaque pas trébuche.
ACTOR #1 parle de ‘devenir’: de ce qui est a été créé, de ce qui est créé et de ce qui pourrait être créé.
Trois variations sur le passage du chaos à l’ordre.
Les trois parties du spectacle – les installations/performances MASS, HUMINID et DANCER #3 – sont présentées dans des espaces différents du Kaaistudio’s.

c'est une pièce faite avec amour. c'est un cas pour témoins visuels inversés. c'est une pièce de danse avec deux reporters de danse, des chaussures bruyantes et un poème, qui essaient de s'accorder. c'est un duo qui cherche des moyens de locomotion entre dimensions. c'est une pièce de danse qui traverse plusieurs manières de faire et de regarder des paysages de danse. c'est un grand écart. c'est une machine à voyager qui teste des relations au sens large du terme. c'est une mauvaise interprétation d'un duo, chorégraphié par deux...

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Zanahoria est une conférence portant sur la bien connue carrotte que l’on tient devant nez de l’âne pour le faire avancer. Pour poursuivre leur hit-culte Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…’ (2007), Bryssinck & Peeters (à ce moment encore avec Danai Anesiadou) partirent à la recherche de ‘l’image ultime ». Celle-ci devait d’une part représenter le trio et d’autre part être la traduction parfaite de leur imagination la plus débridée. ils demandèrent à d’autres artistes de les guider dans cette quête, espérant que de cette façon des éléments inattendus et imprévisibles se glisseraient dans leur création, et puissent ainsi les surprendre eux-mêmes. « Zanahoria » raconte de façon légère l’histoire de cette quête: une folle oscillation entre attente pleine d’espoir et déception, entre hilarité et désespoir, entre vérité et fiction et entre vérité insipide et imagination intouchable.

A sensual discovery of the world by two alien girls and some strange encounters…
« Le corps reflète le volet physique de la personnalité et le mouvement révèle la personnalité », déclara Starks Whitehouse qui développa la technique ‘Authentic Movement’ dans les années ’50. The Visitants invite le public, de manière ludique, a être témoin du ‘voyage intérieur’ effectué par les interprètes.

The Visitants propose au spectateur d'assister à ce 'voyage intérieur' de deux interprètes, exposant une expérience intime (mouvement authentique) au regard de l'auditoire et pervertissant ainsi l'objectif principal de la technique en le transformant en une technique de performance. Dans ce film, une pratique thérapeutique est transformé en une pratique de la danse et, finalement, mettre en relation avec une autre pratique du corps: Le Body Building.Le public - après avoir regardé le film - est confronté à un groupe de body...