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Dans le travail de l’artiste et metteur en scène Kris Verdonck, la relation entre l’homme et l’objet, entre l’être vivant et la matière est centrale. C’est également ce que l’on retrouve dans ACTOR #1.

La première partie, MASS, donne à voir un paysage poétique étrange, résultat de processus chimiques et physiques. Un paysage de brumes sculptées qui bougent sans cesse.
Dans HUMINID nous sommes interpellé par un être que l’on dirait à moitié homme et à moitié poupée. Le comédien Johan Leysen n’est pas sur scène mais il a prêté sa voix et son visage au texte. Huminid: ou comment un « être » peut devenir un « homme » par le biais de la langue.
Dans DANCER #3 on voit un robot qui tente de se tenir droit ; il tombe sans cesse mais n’abandonne pas. Joyeux et infatigable, il persiste dans son processus d’essais et erreurs. Son énergie et sa maladresse rayonnent de l’optimisme d’un clown qui à chaque pas trébuche.
ACTOR #1 parle de ‘devenir’: de ce qui est a été créé, de ce qui est créé et de ce qui pourrait être créé.
Trois variations sur le passage du chaos à l’ordre.
Les trois parties du spectacle – les installations/performances MASS, HUMINID et DANCER #3 – sont présentées dans des espaces différents du Kaaistudio’s.

Homo sapiens est un intrigante expérience scénique crée par Wolff. Elle balance sur la frontière entre dance, théâtre et installation.

 

L’espèce humaine est placée dans un environnement extrait de son contexte habituel. Elle se retrouve dans un univers blanc, clinique, en transformation constante, manipulé par des forces et des créatures difficilement identifiables. Homo sapiens. Que cherche t-il? Quelles sont ses peurs ? Quels sont ses rêves ? Comment rempli t-il le temps entre le berceau et la tombe ? Comment gère t-il environnement aveugle et insensible qui l’entoure ? Homo Sapiens est la troisième partie de Darwintrilogy, un triptyque de science,...

Zanahoria est une conférence portant sur la bien connue carrotte que l’on tient devant nez de l’âne pour le faire avancer. Pour poursuivre leur hit-culte Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…’ (2007), Bryssinck & Peeters (à ce moment encore avec Danai Anesiadou) partirent à la recherche de ‘l’image ultime ». Celle-ci devait d’une part représenter le trio et d’autre part être la traduction parfaite de leur imagination la plus débridée. ils demandèrent à d’autres artistes de les guider dans cette quête, espérant que de cette façon des éléments inattendus et imprévisibles se glisseraient dans leur création, et puissent ainsi les surprendre eux-mêmes. « Zanahoria » raconte de façon légère l’histoire de cette quête: une folle oscillation entre attente pleine d’espoir et déception, entre hilarité et désespoir, entre vérité et fiction et entre vérité insipide et imagination intouchable.

Zanahoria est une conférence portant sur la bien connue carrotte que l’on tient devant nez de l’âne pour le faire avancer. Pour poursuivre leur hit-culte Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…’ (2007), Bryssinck & Peeters (à ce moment encore avec Danai Anesiadou) partirent à la recherche de ‘l’image ultime ». Celle-ci devait d’une part représenter le trio et d’autre part être la traduction parfaite de leur imagination la plus débridée. ils demandèrent à d’autres artistes de les guider dans cette quête, espérant que de cette façon des éléments inattendus et imprévisibles se glisseraient dans leur création, et puissent ainsi les surprendre eux-mêmes. « Zanahoria » raconte de façon légère l’histoire de cette quête: une folle oscillation entre attente pleine d’espoir et déception, entre hilarité et désespoir, entre vérité et fiction et entre vérité insipide et imagination intouchable.

Homo sapiens est un intrigante expérience scénique crée par Wolff. Elle balance sur la frontière entre dance, théâtre et installation.

 

L’espèce humaine est placée dans un environnement extrait de son contexte habituel. Elle se retrouve dans un univers blanc, clinique, en transformation constante, manipulé par des forces et des créatures difficilement identifiables. Homo sapiens. Que cherche t-il? Quelles sont ses peurs ? Quels sont ses rêves ? Comment rempli t-il le temps entre le berceau et la tombe ? Comment gère t-il environnement aveugle et insensible qui l’entoure ? Homo Sapiens est la troisième partie de Darwintrilogy, un triptyque de science,...

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Homo sapiens est un intrigante expérience scénique crée par Wolff. Elle balance sur la frontière entre dance, théâtre et installation.

 

L’espèce humaine est placée dans un environnement extrait de son contexte habituel. Elle se retrouve dans un univers blanc, clinique, en transformation constante, manipulé par des forces et des créatures difficilement identifiables. Homo sapiens. Que cherche t-il? Quelles sont ses peurs ? Quels sont ses rêves ? Comment rempli t-il le temps entre le berceau et la tombe ? Comment gère t-il environnement aveugle et insensible qui l’entoure ? Homo Sapiens est la troisième partie de Darwintrilogy, un triptyque de science,...

I/II/III/IIII est une nouvelle installation théâtrale du metteur en scène/plasticien Kris Verdonck. Quatre danseuses « identiques » sont suspendues à une grande « machine », telles des marionnettes. Ensemble, l’artiste de performance Kris Verdonck et les performeuses ont créé une chorégraphie : un solo, un duo, un trio et un pas de quatre. Ils ont tenté de se libérer le plus possible de la machine, mais tôt ou tard celle-ci les mène quand même dans une direction qu’elle a déterminée. Les images qu’évoque I/II/III/IIII sont déroutantes, stratifiées et ambiguës : elles nous rappellent les palmipèdes blancs du Lac des Cygnes, mais elles font aussi penser à des carcasses animales, à des anges flottants, à des corps humains s’écroulant et à tout ce que l’on peut imaginer d’intermédiaire.

Dans le travail de l’artiste et metteur en scène Kris Verdonck, la relation entre l’homme et l’objet, entre l’être vivant et la matière est centrale. C’est également ce que l’on retrouve dans ACTOR #1.

La première partie, MASS, donne à voir un paysage poétique étrange, résultat de processus chimiques et physiques. Un paysage de brumes sculptées qui bougent sans cesse.
Dans HUMINID nous sommes interpellé par un être que l’on dirait à moitié homme et à moitié poupée. Le comédien Johan Leysen n’est pas sur scène mais il a prêté sa voix et son visage au texte. Huminid: ou comment un « être » peut devenir un « homme » par le biais de la langue.
Dans DANCER #3 on voit un robot qui tente de se tenir droit ; il tombe sans cesse mais n’abandonne pas. Joyeux et infatigable, il persiste dans son processus d’essais et erreurs. Son énergie et sa maladresse rayonnent de l’optimisme d’un clown qui à chaque pas trébuche.
ACTOR #1 parle de ‘devenir’: de ce qui est a été créé, de ce qui est créé et de ce qui pourrait être créé.
Trois variations sur le passage du chaos à l’ordre.
Les trois parties du spectacle – les installations/performances MASS, HUMINID et DANCER #3 – sont présentées dans des espaces différents du Kaaistudio’s.

Live-In Room est un environnement sonore préenregistré, mixé et composé en temps réel par l’artiste sonore Els Viaene ou David Elchardus et Lilia Mestre. Ces performances sont originales et uniques puisqu’elles sont composées à partir de la présence et des actions du public dans un salon re-créé.

Dans son fantasmagorique ‘Thriller…’ Diederik Peeters questionne notre regard sur la réalité qui nous entoure. Il s’étonne de la fragile cohérence de nos impressions, et du fait qu’en dépit de cela, nous parvenions malgré tout à faire se succéder nos actions d’une manière apparemment logique.

‘Thriller…’ se présente à nous comme un sitcom sinistre, qui n’arrive pas à démarrer. Le personnage principal que nous retrouvons dans sa chambre, semble bel et bien au début d’une histoire. Mais aussi tôt il se perd dans les échos et répétitions de ses actions. L’histoire et le décor se dissolvent et le mystère et le hasard engloutissent notre personnage. Et dans cette réalité en pleine fragmentation, le temps même ne semble plus servir à grand chose, sauf à éviter que tout se passe en même temps.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Zanahoria est une conférence portant sur la bien connue carrotte que l’on tient devant nez de l’âne pour le faire avancer. Pour poursuivre leur hit-culte Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…’ (2007), Bryssinck & Peeters (à ce moment encore avec Danai Anesiadou) partirent à la recherche de ‘l’image ultime ». Celle-ci devait d’une part représenter le trio et d’autre part être la traduction parfaite de leur imagination la plus débridée. ils demandèrent à d’autres artistes de les guider dans cette quête, espérant que de cette façon des éléments inattendus et imprévisibles se glisseraient dans leur création, et puissent ainsi les surprendre eux-mêmes. « Zanahoria » raconte de façon légère l’histoire de cette quête: une folle oscillation entre attente pleine d’espoir et déception, entre hilarité et désespoir, entre vérité et fiction et entre vérité insipide et imagination intouchable.

Pour fair court: C’est l’histoire d’une femme, d’un chasseur, d’une lame de rasoir, d’une maladie, et d’un anti-douleur … À un certain moment, il y a de la violence domestique … Mais c’est seulement à la fin que le sang gicle de tous les côtés … comme les fontaines à Genève.

« Thank goodness hunter Johnson was on the watch! Not only that was good news. As it happened the hunter carried around a true painkiller in his pocket. Not one of those small powders but a proper pill. So he decides to rescue her.

Like a crazy maniac Johnson leaps out of his hiding place; and even before she gets a chance to turn her head and look at him, he has already inserted his painkiller deeply from behind. And that makes her feel better… »

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Dans le travail de l’artiste et metteur en scène Kris Verdonck, la relation entre l’homme et l’objet, entre l’être vivant et la matière est centrale. C’est également ce que l’on retrouve dans ACTOR #1.

La première partie, MASS, donne à voir un paysage poétique étrange, résultat de processus chimiques et physiques. Un paysage de brumes sculptées qui bougent sans cesse.
Dans HUMINID nous sommes interpellé par un être que l’on dirait à moitié homme et à moitié poupée. Le comédien Johan Leysen n’est pas sur scène mais il a prêté sa voix et son visage au texte. Huminid: ou comment un « être » peut devenir un « homme » par le biais de la langue.
Dans DANCER #3 on voit un robot qui tente de se tenir droit ; il tombe sans cesse mais n’abandonne pas. Joyeux et infatigable, il persiste dans son processus d’essais et erreurs. Son énergie et sa maladresse rayonnent de l’optimisme d’un clown qui à chaque pas trébuche.
ACTOR #1 parle de ‘devenir’: de ce qui est a été créé, de ce qui est créé et de ce qui pourrait être créé.
Trois variations sur le passage du chaos à l’ordre.
Les trois parties du spectacle – les installations/performances MASS, HUMINID et DANCER #3 – sont présentées dans des espaces différents du Kaaistudio’s.

All Natural clignote entre la ‘stand-up comedy’ et la routine des show de Las Vegas.
La Showgirl semble émerger de mois perdus dans la forêt. Boueuse, échevelée et plus animale qu’humaine, ses excuses, promesses et soudaines explosions glissent et s’entremêlent les unes aux autres.
All Natural a commencé par une recherche au cœur de ce mythe branlant du ‘naturel’ – et de notre désir effréné de cela en tout – de la nourriture à la personnalité.
All Natural finit en jetant un trouble sur l’authenticité de la scène et des contacts sociaux en général. Comme si nous pouvions faire confiance à nos instincts, pourtant profondément enterrés et déformés, pour nous sortir de ce trouble.

Alix Eynaudi + Agata Maszkiewicz

Long Long Short Long Short

c'est une pièce faite avec amour. c'est un cas pour témoins visuels inversés. c'est une pièce de danse avec deux reporters de danse, des chaussures bruyantes et un poème, qui essaient de s'accorder. c'est un duo qui cherche des moyens de locomotion entre dimensions. c'est une pièce de danse qui traverse plusieurs manières de faire et de regarder des paysages de danse. c'est un grand écart. c'est une machine à voyager qui teste des relations au sens large du terme. c'est une mauvaise interprétation d'un duo, chorégraphié par deux...

Zanahoria est une conférence portant sur la bien connue carrotte que l’on tient devant nez de l’âne pour le faire avancer. Pour poursuivre leur hit-culte Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…’ (2007), Bryssinck & Peeters (à ce moment encore avec Danai Anesiadou) partirent à la recherche de ‘l’image ultime ». Celle-ci devait d’une part représenter le trio et d’autre part être la traduction parfaite de leur imagination la plus débridée. ils demandèrent à d’autres artistes de les guider dans cette quête, espérant que de cette façon des éléments inattendus et imprévisibles se glisseraient dans leur création, et puissent ainsi les surprendre eux-mêmes. « Zanahoria » raconte de façon légère l’histoire de cette quête: une folle oscillation entre attente pleine d’espoir et déception, entre hilarité et désespoir, entre vérité et fiction et entre vérité insipide et imagination intouchable.

Video Installation
Lors d’une rencontre estivale, Kate McIntosh et Eva Meyer Keller en sont venue à jouer. Explorant la ville, de l’intérieur vers l’extérieur, elles ont construit de petites installations dans les lieux qu’elles ont découvert. Elles inventèrent un jeu de ping-pong d’images ou chaque action était comme un challenge et demandait que l’autre y réponde. Le résultat est une collection de courtes actions et d’improbables installations, un inventaire du monde en expansion continue par le dé-placement intentionnel de ce qui s’y trouve. Le projet est sans fin. Il y a une obstination et une avidité curieuse dans ce catalogue de petits écrasements, pièges, décorations et réparations – il y a une certaine logique interne qui peut être lue comme « placer les choses au mauvais endroit » et qui cependant satisfait une certaine curiosité, un certain désir, avant de rapidement passer au suivant. Les réarrangements sont subversifs, cryptiques et parfois fait de mystérieux re-arrangements de matériaux banals dans un environnement de tous les jours. Chaque image est un fragment d’une vision du monde en compilation continue. Une recherche en relais de ce-qui-doit-aller-où, et de ce qu’il advient quand une « chose » en rencontre une autre.

This collaboration was the first stage of the FlashPoint project – a series of meetings in which Kate invites each time a different artist for a short collaboration.

One Man Snow est un late night show dans lequel l’artiste est hanté par son passé révolu. Il revit des moments d’une autre carrière de showbiz, il rêve d’un spectacle que lui-même aurait aimé voir. Il y a des fantasmes et de la paranoïa. Hanté par les fantômes du divertissement, il pénètre le spectacle de ses cauchemars absurdes. Il attend secrètement un invité spécial, il espère entendre un big band, mais tout ce qu’il en a, c’est l’odeur. One Man Snow est un project de Hans Bryssinck et Christoph Hefti.

Un corps émotionnel constitue un lieu de rencontre et de dialogue permanent entre des rythmes, des histoires, des perceptions et des contextes. Ce qui m’intéresse dans le corps, c’est sa faculté à cohabiter, à échanger et à faire sens dans sa relation avec des éléments extérieurs. Je vois le corps émotionnel comme moteur de changement et de différence qualitative.

Moving You met en scène et en rôle un éventail de relations possibles que l'on peut avoir avec “un autre” ou “une chose”. Ces relations sociales et émotionnelles vont s'exprimer à travers des actions, des conflits, des célébrations, des interférences, des échanges et une variété d'émotions déchaînées. Comme son nom l'indique, “Moving you” a pour but de vous agiter par le biais des performeurs qu'elle agite. Moving You est un zoom dans la vie quotidienne en tant qu'apport créatif. Je voudrais créer un...

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Quand un humour cru et cruel fait méticuleusement litière de l’histoire de l’homme ! Avec How do you like my landscape les artistes Bernard Van Eeghem et Manah Depauw redéfinissent avec une imagination aiguisée la place du corps humain dans nos sociétés en proie au puritanisme et au politiquement correct. A travers des manipulations déconcertantes par leur simplicité, les auteurs et performers Bernard Van Eeghem et Manah Depauw décontextualisent le corps humain, et le placent là où l’on n’attend pas qu’il soit. Ce spectacle en quatre épisodes se déroule autour d’un paysage où le calme apparent dissimule des bêtes redoutables capables de faire surgir en nous des désirs inavouables. Le public suit à travers les quatre épisodes un monde qui se transforme et évolue.

Un corps émotionnel constitue un lieu de rencontre et de dialogue permanent entre des rythmes, des histoires, des perceptions et des contextes. Ce qui m’intéresse dans le corps, c’est sa faculté à cohabiter, à échanger et à faire sens dans sa relation avec des éléments extérieurs. Je vois le corps émotionnel comme moteur de changement et de différence qualitative.

Moving You met en scène et en rôle un éventail de relations possibles que l'on peut avoir avec “un autre” ou “une chose”. Ces relations sociales et émotionnelles vont s'exprimer à travers des actions, des conflits, des célébrations, des interférences, des échanges et une variété d'émotions déchaînées. Comme son nom l'indique, “Moving you” a pour but de vous agiter par le biais des performeurs qu'elle agite. Moving You est un zoom dans la vie quotidienne en tant qu'apport créatif. Je voudrais créer un...

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...

home and away est un film documentaire sur l’habitat, le chez soi, la vie privée et les objets précieux. Le film explore la relation entre l’être humain et les objets chez des nomades contemporains. Quel objet emportons nous, quand nous sommes constamment en route ou sans domicile fixe et qui nous aidera à nous sentir chez nous ? Le film nous montre à partir de leurs biens les plus précieux, des portraits de personnes d’aujourd’hui, sans domicile fixe, des expatriés, des réfugiés, des aventuriers, des sans abris.
L’expo home & away est accessible au public jusqu’au 4 décembre au Kaaitheater.

Cette exposition fait partie du projet socio-artistique “Karavaan” de Globe Aroma, une organisation socio-artistique, qui stimule les rencontres en milieu urbain. Elle veut permettre aux gens de découvrir la richesse de l’art et de la culture des autres. Globe Aroma réunit autour de sa table différents partenaires (développement de réseau) et crée des liens de coopération afin de favoriser les échanges artistiques et de susciter, par le truchement de l’art, un dialogue interculturel.

c'est une pièce faite avec amour. c'est un cas pour témoins visuels inversés. c'est une pièce de danse avec deux reporters de danse, des chaussures bruyantes et un poème, qui essaient de s'accorder. c'est un duo qui cherche des moyens de locomotion entre dimensions. c'est une pièce de danse qui traverse plusieurs manières de faire et de regarder des paysages de danse. c'est un grand écart. c'est une machine à voyager qui teste des relations au sens large du terme. c'est une mauvaise interprétation d'un duo, chorégraphié par deux...

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

NEVERLAND is a video of professional Michael Jackson impersonator, Christophe Lesquesne performing as Michael Jackson.

Christophe was a professional impersonator by accident- in 1982 he did an imitation of Jackson for friends at a party and afterwards the invitations quickly began. When the scandals broke 10 years later, of Jackson's sexual abuse charges, the phone stopped ringing. Christophe was left with the excess, and absence, of his original- a body which had stopped producing. But Christophe"s body didn't stop producing. Through his virtuosity as an imitator, he had become an after-life body, somehow more real than Jackson himself.This situation lead...

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...

Irma Firma

How to survive in a city?

WarpSint-Niklaas, Belgium

Irma Firma, accompagnée de quinze participants, passe les quartiers au peigne fin, en quête de ce que l’on y trouve de comestible. Comment survivre savoureusement et à satiété dans une métropole avec les ingrédients que celle-ci nous propose ? Chasser, cueillir et goûter !

Video Installation
Lors d’une rencontre estivale, Kate McIntosh et Eva Meyer Keller en sont venue à jouer. Explorant la ville, de l’intérieur vers l’extérieur, elles ont construit de petites installations dans les lieux qu’elles ont découvert. Elles inventèrent un jeu de ping-pong d’images ou chaque action était comme un challenge et demandait que l’autre y réponde. Le résultat est une collection de courtes actions et d’improbables installations, un inventaire du monde en expansion continue par le dé-placement intentionnel de ce qui s’y trouve. Le projet est sans fin. Il y a une obstination et une avidité curieuse dans ce catalogue de petits écrasements, pièges, décorations et réparations – il y a une certaine logique interne qui peut être lue comme « placer les choses au mauvais endroit » et qui cependant satisfait une certaine curiosité, un certain désir, avant de rapidement passer au suivant. Les réarrangements sont subversifs, cryptiques et parfois fait de mystérieux re-arrangements de matériaux banals dans un environnement de tous les jours. Chaque image est un fragment d’une vision du monde en compilation continue. Une recherche en relais de ce-qui-doit-aller-où, et de ce qu’il advient quand une « chose » en rencontre une autre.

This collaboration was the first stage of the FlashPoint project – a series of meetings in which Kate invites each time a different artist for a short collaboration.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Quand un humour cru et cruel fait méticuleusement litière de l’histoire de l’homme ! Avec How do you like my landscape les artistes Bernard Van Eeghem et Manah Depauw redéfinissent avec une imagination aiguisée la place du corps humain dans nos sociétés en proie au puritanisme et au politiquement correct. A travers des manipulations déconcertantes par leur simplicité, les auteurs et performers Bernard Van Eeghem et Manah Depauw décontextualisent le corps humain, et le placent là où l’on n’attend pas qu’il soit. Ce spectacle en quatre épisodes se déroule autour d’un paysage où le calme apparent dissimule des bêtes redoutables capables de faire surgir en nous des désirs inavouables. Le public suit à travers les quatre épisodes un monde qui se transforme et évolue.

Pour fair court: C’est l’histoire d’une femme, d’un chasseur, d’une lame de rasoir, d’une maladie, et d’un anti-douleur … À un certain moment, il y a de la violence domestique … Mais c’est seulement à la fin que le sang gicle de tous les côtés … comme les fontaines à Genève.

« Thank goodness hunter Johnson was on the watch! Not only that was good news. As it happened the hunter carried around a true painkiller in his pocket. Not one of those small powders but a proper pill. So he decides to rescue her.

Like a crazy maniac Johnson leaps out of his hiding place; and even before she gets a chance to turn her head and look at him, he has already inserted his painkiller deeply from behind. And that makes her feel better… »

Tout va bien?
Oui, tout roule.

D´une grande simplicité, la performance de Leentje Vandenbussche présente de vastes enjeux.

O est comme un buffet à volonté composé de Tout dans sa dimension la plus insaisissable et du tout de notre environnement quotidien. Jouez-vous la carte de l’abondance ou composez-vous soigneusement chaque assiette? Tout est entre vos mains.Pas deregard indiscret, pas de compte à rendre, tout est possible, tout est bon.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

David, un voyage en immobilité.
David, c’est le David de Michel-Ange.

Trois hommes sont ce David, ce David qui est tous les hommes. Invitant à l'observation obstinée de ces trois hommes en David, de ces trois hommes tenant la pose de la même manière que l'homme en tant qu'homme intime et social ne peut que tenir son rang, son rôle et sa nature d'homme, David propose un voyage en David, un voyage en l'homme, dans tous ses états, dans toute la richesse de sa complexité, de ses contradictions, du mouvement de ses humeurs toujours changeantes, des remous de son âme, de ses luttes et de ses abandons... Les...

David, un voyage en immobilité.
David, c’est le David de Michel-Ange.

Trois hommes sont ce David, ce David qui est tous les hommes. Invitant à l'observation obstinée de ces trois hommes en David, de ces trois hommes tenant la pose de la même manière que l'homme en tant qu'homme intime et social ne peut que tenir son rang, son rôle et sa nature d'homme, David propose un voyage en David, un voyage en l'homme, dans tous ses états, dans toute la richesse de sa complexité, de ses contradictions, du mouvement de ses humeurs toujours changeantes, des remous de son âme, de ses luttes et de ses abandons... Les...

Les Stills se composent de projections gigantesques : des personnages sont emprisonnés dans un espace exigu. Ils cherchent, par d’infimes mouvements, à alléger le poids de leur situation. Still I & II a vu le jour en septembre 2006, à l’occasion de la La Notte Bianca à Rome. Les images y étaient projetées sur l’une des façades mégalomanes du quartier de l’EUR, que Mussolini fit bâtir dans la périphérie de Rome. La nudité et la fragilité des personnages, et la précarité de leur situation, contrastaient cruellement avec l’arrogance de cette architecture réaliste-socialiste. À Bruxelles, le choix d’un lieu aussi imposant et nourri de démagogie s’est porté sur le haut du Mont des Arts.

Le corps humain est une machine pleine de réflexes d’animaux et de signaux. Notre esprit actionne ce bel instrument, mais quels sont les moteurs de notre esprit? BIRTH of PREY observe les routines, les rituels et le langage corporel entre prédateurs et proies.
Qui est quoi, quand et pourquoi? Quel effet ont nos instincts sur notre corps ? Comment sommes-nous dépendants de nos pulsions et (combien de temps) peut-on les maîtriser? BIRTH of PREY, un rituel circulaire qui donne forme à l’interaction entre l’instruction rationnelle et l’émotion métaphysique. La métamorphose constante de l’être.

Chaque espace coexiste avec un autre espace qu’il contient, et dont le spectateur ne prend conscience qu’à partir du moment où il prête attention aux éléments acoustiques. Ceux-ci peuvent se superposer de manière calme et harmonieuse. Mais quand ces espaces entrent en conflit, le son devient bruit, source de tension menant à la peur, au stress, à la fatigue,… fascinant et hypnotisant. Le bruit exerce alors une influence sur les objets présents dans cet espace et sur le comportement de ses occupants.

Dans Lawaai Means Hawaai, la pollution, l'écho ainsi que l'absorption, la réflexion et le fond sonore deviennent des figures-clé dans le processus d'écriture; bien qu'il ne s'agisse pas ici de métaphore ou d'imitation. Le concept même de bruit peut faire l'objet de définitions différentes selon la discipline qui l'appréhende: l'acoustique, les sciences de la communication ou l'informatique. Mais au-delà de la question du choix d'une définition, l'idée originelle était de travailler sur ces différents plans de qualité, de...

Chaque espace coexiste avec un autre espace qu’il contient, et dont le spectateur ne prend conscience qu’à partir du moment où il prête attention aux éléments acoustiques. Ceux-ci peuvent se superposer de manière calme et harmonieuse. Mais quand ces espaces entrent en conflit, le son devient bruit, source de tension menant à la peur, au stress, à la fatigue,… fascinant et hypnotisant. Le bruit exerce alors une influence sur les objets présents dans cet espace et sur le comportement de ses occupants.

Dans Lawaai Means Hawaai, la pollution, l'écho ainsi que l'absorption, la réflexion et le fond sonore deviennent des figures-clé dans le processus d'écriture; bien qu'il ne s'agisse pas ici de métaphore ou d'imitation. Le concept même de bruit peut faire l'objet de définitions différentes selon la discipline qui l'appréhende: l'acoustique, les sciences de la communication ou l'informatique. Mais au-delà de la question du choix d'une définition, l'idée originelle était de travailler sur ces différents plans de qualité, de...

David, un voyage en immobilité.
David, c’est le David de Michel-Ange.

Trois hommes sont ce David, ce David qui est tous les hommes. Invitant à l'observation obstinée de ces trois hommes en David, de ces trois hommes tenant la pose de la même manière que l'homme en tant qu'homme intime et social ne peut que tenir son rang, son rôle et sa nature d'homme, David propose un voyage en David, un voyage en l'homme, dans tous ses états, dans toute la richesse de sa complexité, de ses contradictions, du mouvement de ses humeurs toujours changeantes, des remous de son âme, de ses luttes et de ses abandons... Les...

Irma Firma, accompagnée de quinze participants, passe les quartiers au peigne fin, en quête de ce que l’on y trouve de comestible. Comment survivre savoureusement et à satiété dans une métropole avec les ingrédients que celle-ci nous propose ? Chasser, cueillir et goûter !

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Zanahoria est une conférence portant sur la bien connue carrotte que l’on tient devant nez de l’âne pour le faire avancer. Pour poursuivre leur hit-culte Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…’ (2007), Bryssinck & Peeters (à ce moment encore avec Danai Anesiadou) partirent à la recherche de ‘l’image ultime ». Celle-ci devait d’une part représenter le trio et d’autre part être la traduction parfaite de leur imagination la plus débridée. ils demandèrent à d’autres artistes de les guider dans cette quête, espérant que de cette façon des éléments inattendus et imprévisibles se glisseraient dans leur création, et puissent ainsi les surprendre eux-mêmes. « Zanahoria » raconte de façon légère l’histoire de cette quête: une folle oscillation entre attente pleine d’espoir et déception, entre hilarité et désespoir, entre vérité et fiction et entre vérité insipide et imagination intouchable.

All Natural clignote entre la ‘stand-up comedy’ et la routine des show de Las Vegas.
La Showgirl semble émerger de mois perdus dans la forêt. Boueuse, échevelée et plus animale qu’humaine, ses excuses, promesses et soudaines explosions glissent et s’entremêlent les unes aux autres.
All Natural a commencé par une recherche au cœur de ce mythe branlant du ‘naturel’ – et de notre désir effréné de cela en tout – de la nourriture à la personnalité.
All Natural finit en jetant un trouble sur l’authenticité de la scène et des contacts sociaux en général. Comme si nous pouvions faire confiance à nos instincts, pourtant profondément enterrés et déformés, pour nous sortir de ce trouble.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...
c'est une pièce faite avec amour. c'est un cas pour témoins visuels inversés. c'est une pièce de danse avec deux reporters de danse, des chaussures bruyantes et un poème, qui essaient de s'accorder. c'est un duo qui cherche des moyens de locomotion entre dimensions. c'est une pièce de danse qui traverse plusieurs manières de faire et de regarder des paysages de danse. c'est un grand écart. c'est une machine à voyager qui teste des relations au sens large du terme. c'est une mauvaise interprétation d'un duo, chorégraphié par deux...

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Live-In Room est un environnement sonore préenregistré, mixé et composé en temps réel par l’artiste sonore Els Viaene ou David Elchardus et Lilia Mestre. Ces performances sont originales et uniques puisqu’elles sont composées à partir de la présence et des actions du public dans un salon re-créé.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

home and away est un film documentaire sur l’habitat, le chez soi, la vie privée et les objets précieux. Le film explore la relation entre l’être humain et les objets chez des nomades contemporains. Quel objet emportons nous, quand nous sommes constamment en route ou sans domicile fixe et qui nous aidera à nous sentir chez nous ? Le film nous montre à partir de leurs biens les plus précieux, des portraits de personnes d’aujourd’hui, sans domicile fixe, des expatriés, des réfugiés, des aventuriers, des sans abris.
L’expo home & away est accessible au public jusqu’au 4 décembre au Kaaitheater.

Cette exposition fait partie du projet socio-artistique “Karavaan” de Globe Aroma, une organisation socio-artistique, qui stimule les rencontres en milieu urbain. Elle veut permettre aux gens de découvrir la richesse de l’art et de la culture des autres. Globe Aroma réunit autour de sa table différents partenaires (développement de réseau) et crée des liens de coopération afin de favoriser les échanges artistiques et de susciter, par le truchement de l’art, un dialogue interculturel.

En Décembre 2010 Ernst Maréchal a réalisé Blue Key Identity pour le Spoken World Festival du Kaaitheater. Blue Key Identity était un prolongement des projets social-artistiques: ‘De Tafelkeuken’ et ‘Made in Belgium’. Deux projets remarqués avec la collaboration de Globe Aroma et les demandeurs d’asile du Petit Château.

Les réfugiés sont littéralement coincés entre leur pays d’origine et leur pays d’accueil. Le metteur en scène Ernst Maréchal raconte l’histoire de mères et de fils séparés les uns des autres. Il part trouver les mamans dans les pays d’origine, en l’espèce Syrie et Congo, pour réaliser un dialogue filmique entre ici et là-bas. Il se sert pour cela de la technique du Blue Key Identity, qui consiste à filmer sur un fond bleu que l’on rend ensuite transparent. Cela permet de placer l’objet ou le sujet...

En Décembre 2010 Ernst Maréchal a réalisé Blue Key Identity pour le Spoken World Festival du Kaaitheater. Blue Key Identity était un prolongement des projets social-artistiques: ‘De Tafelkeuken’ et ‘Made in Belgium’. Deux projets remarqués avec la collaboration de Globe Aroma et les demandeurs d’asile du Petit Château.

Les réfugiés sont littéralement coincés entre leur pays d’origine et leur pays d’accueil. Le metteur en scène Ernst Maréchal raconte l’histoire de mères et de fils séparés les uns des autres. Il part trouver les mamans dans les pays d’origine, en l’espèce Syrie et Congo, pour réaliser un dialogue filmique entre ici et là-bas. Il se sert pour cela de la technique du Blue Key Identity, qui consiste à filmer sur un fond bleu que l’on rend ensuite transparent. Cela permet de placer l’objet ou le sujet...

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.