Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».
soutient le développement de parcours artistiques
Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».
Roch Baumert, Alix Eynaudi et Diederik Peeters apportent aux interrogations classiques de l’Antiquité un éclairage contemporain. Entre grandeur et décadence, ils ont choisi leur camp.
Roch Baumert, Alix Eynaudi et Diederik Peeters apportent aux interrogations classiques de l’Antiquité un éclairage contemporain. Entre grandeur et décadence, ils ont choisi leur camp.
Une sculpture en polyester est enfermée dans un coffre en bois. Durant la performance, le protagoniste respire à l’aide d’un équipement de plongée.
Le titre fait référence aux petits écriteaux rencontrés dans un zoo.
Le corps d’un homme nourri d’ingrédients matériels et/ou spirituels, se manifeste à un moment déterminé, au travers des récepteurs sensoriels externes et internes, par la respiration artificielle, les fonctions internes des organes. Il y a des liens et des interconnexions, l’échange de ‘nourriture’ nous fait entrer et sortir du corps. On retrouve une dimension de responsabilité sociale. Cela remet en question l’exposition insouciante d’une créature dotée d’une âme.
Un corps émotionnel constitue un lieu de rencontre et de dialogue permanent entre des rythmes, des histoires, des perceptions et des contextes. Ce qui m’intéresse dans le corps, c’est sa faculté à cohabiter, à échanger et à faire sens dans sa relation avec des éléments extérieurs. Je vois le corps émotionnel comme moteur de changement et de différence qualitative.
“Yes, and I personally met the devil at least three times face to face.”
Au centre de cette performance musicale se trouve une machine qui, apparemment, produit des expériences de mort imminente et une chanteuse Roumaine qui pense se trouver entre la vie et la mort. Trois personnages sinistres la regardent. Ils sont comme son ombre, son guide, la personnification de ses démons, comme les opérateurs de la machine à expériences extatiques. Ce qui en réalité se passe en un centième de seconde, dure pour elle une éternité. Le caractère répétitif de son expérience semble faire de chaque fin possible un retour vers le début. Elle passe au travers de différents états, de la dévotion, au désespoir, de l’obsession totale à l’extase.
Zanahoria est une conférence portant sur la bien connue carrotte que l’on tient devant nez de l’âne pour le faire avancer. Pour poursuivre leur hit-culte Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…’ (2007), Bryssinck & Peeters (à ce moment encore avec Danai Anesiadou) partirent à la recherche de ‘l’image ultime ». Celle-ci devait d’une part représenter le trio et d’autre part être la traduction parfaite de leur imagination la plus débridée. ils demandèrent à d’autres artistes de les guider dans cette quête, espérant que de cette façon des éléments inattendus et imprévisibles se glisseraient dans leur création, et puissent ainsi les surprendre eux-mêmes. « Zanahoria » raconte de façon légère l’histoire de cette quête: une folle oscillation entre attente pleine d’espoir et déception, entre hilarité et désespoir, entre vérité et fiction et entre vérité insipide et imagination intouchable.
“Yes, and I personally met the devil at least three times face to face.”
Au centre de cette performance musicale se trouve une machine qui, apparemment, produit des expériences de mort imminente et une chanteuse Roumaine qui pense se trouver entre la vie et la mort. Trois personnages sinistres la regardent. Ils sont comme son ombre, son guide, la personnification de ses démons, comme les opérateurs de la machine à expériences extatiques. Ce qui en réalité se passe en un centième de seconde, dure pour elle une éternité. Le caractère répétitif de son expérience semble faire de chaque fin possible un retour vers le début. Elle passe au travers de différents états, de la dévotion, au désespoir, de l’obsession totale à l’extase.
Une sculpture en polyester est enfermée dans un coffre en bois. Durant la performance, le protagoniste respire à l’aide d’un équipement de plongée.
Le titre fait référence aux petits écriteaux rencontrés dans un zoo.
Le corps d’un homme nourri d’ingrédients matériels et/ou spirituels, se manifeste à un moment déterminé, au travers des récepteurs sensoriels externes et internes, par la respiration artificielle, les fonctions internes des organes. Il y a des liens et des interconnexions, l’échange de ‘nourriture’ nous fait entrer et sortir du corps. On retrouve une dimension de responsabilité sociale. Cela remet en question l’exposition insouciante d’une créature dotée d’une âme.
“Yes, and I personally met the devil at least three times face to face.”
Au centre de cette performance musicale se trouve une machine qui, apparemment, produit des expériences de mort imminente et une chanteuse Roumaine qui pense se trouver entre la vie et la mort. Trois personnages sinistres la regardent. Ils sont comme son ombre, son guide, la personnification de ses démons, comme les opérateurs de la machine à expériences extatiques. Ce qui en réalité se passe en un centième de seconde, dure pour elle une éternité. Le caractère répétitif de son expérience semble faire de chaque fin possible un retour vers le début. Elle passe au travers de différents états, de la dévotion, au désespoir, de l’obsession totale à l’extase.
Zanahoria est une conférence portant sur la bien connue carrotte que l’on tient devant nez de l’âne pour le faire avancer. Pour poursuivre leur hit-culte Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…’ (2007), Bryssinck & Peeters (à ce moment encore avec Danai Anesiadou) partirent à la recherche de ‘l’image ultime ». Celle-ci devait d’une part représenter le trio et d’autre part être la traduction parfaite de leur imagination la plus débridée. ils demandèrent à d’autres artistes de les guider dans cette quête, espérant que de cette façon des éléments inattendus et imprévisibles se glisseraient dans leur création, et puissent ainsi les surprendre eux-mêmes. « Zanahoria » raconte de façon légère l’histoire de cette quête: une folle oscillation entre attente pleine d’espoir et déception, entre hilarité et désespoir, entre vérité et fiction et entre vérité insipide et imagination intouchable.
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.
Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
David, un voyage en immobilité.
David, c’est le David de Michel-Ange.
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.
David, un voyage en immobilité.
David, c’est le David de Michel-Ange.
Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
Tout va bien?
Oui, tout roule.
D´une grande simplicité, la performance de Leentje Vandenbussche présente de vastes enjeux.
O est comme un buffet à volonté composé de Tout dans sa dimension la plus insaisissable et du tout de notre environnement quotidien. Jouez-vous la carte de l’abondance ou composez-vous soigneusement chaque assiette? Tout est entre vos mains.Pas deregard indiscret, pas de compte à rendre, tout est possible, tout est bon.
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».
DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.
Attendre le tram, attendre son café, attendre une lettre, attendre un amant. Nous sommes quotidiennement confrontés à l’attente sous ses mille et une formes. C’est une partie de la vie, ou c’est peut-être la vie elle-même.
Tout va bien?
Oui, tout roule.
D´une grande simplicité, la performance de Leentje Vandenbussche présente de vastes enjeux.
O est comme un buffet à volonté composé de Tout dans sa dimension la plus insaisissable et du tout de notre environnement quotidien. Jouez-vous la carte de l’abondance ou composez-vous soigneusement chaque assiette? Tout est entre vos mains.Pas deregard indiscret, pas de compte à rendre, tout est possible, tout est bon.
Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…
Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».
Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…
Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…
Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…
Le silence des danses, se compose de trois performances qu’elle montre dans trois espaces différents des Kaaistudio’s.
Avec Le silence des danses, Merlin Spie s’engage sur une nouvelle voie. Elle quitte le domaine de la plastique pure et veut amorcer une mise en regard avec d’autres médias : images numériques, paysages sonores, textes, danse, etc. Ce choix l’entraîne dans une organisation de travail différente, qui implique des collaborations avec des artistes actifs dans ces disciplines diverses. Qui plus est, Merlin Spie était jusqu’à présent la principale, et souvent l’unique, interprète de ses performances.
Dans les deux premières parties du Silence des danses, elle intervient en tant que metteure en scène-sculpteure des autres performeurs. Dans la troisième partie, elle est présente en personne. Cette nouvelle phase dans l’évolution de son œuvre signifie avant tout un nouveau pas dans sa quête de l’abstraction et de la pureté et une transition des images figées, immobiles et respirantes à des images en mouvement.
Le silence des danses embrasse l’abstraction et donne libre cours aux mouvements, sans perdre l’intuition.
Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…
Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…
Pour leur nouvelle production de théâtre ‘Kayak’, les performeurs-complices Bernard Van Eeghem, Catherine Graindorge et Katja Dreyer se retrouvent pour la première fois à trois. ‘
Pour leur nouvelle production de théâtre ‘Kayak’, les performeurs-complices Bernard Van Eeghem, Catherine Graindorge et Katja Dreyer se retrouvent pour la première fois à trois. ‘