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Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».

Comment reconnaissons-nous un objet en tant que tel, une personne en tant que quelqu'un? Faire un Four part de quatre personnes et de leurs danses. Au lieu de viser l'individualité, la pièce les réunit dans un espace à multiples niveaux faits de différentes façons de danser ou d'approches diverses de la danse. Cet espace chorégraphique naît progressivement à travers un processus mutuel d'interprétations, de modifications et d'adaptations des mouvements. Quatre solos (le prologue) génèrent le point de départ de chaque soirée....

Alix Eynaudi + Diederik Peeters & Roch Baumert

swords & sandals

Première

Roch Baumert, Alix Eynaudi et Diederik Peeters apportent aux interrogations classiques de l’Antiquité un éclairage contemporain. Entre grandeur et décadence, ils ont choisi leur camp.

Muscle dardé, érotisme voilé. De vastes portiques et la mer d'Italie. Les colonnes d'un temple, ambiance Quattro Stagioni. Swords & Sandals invite le péplum au Beursschouwburg les 14 et 15 janvier 2011. Le lion est-il le meilleur ami du chrétien ? L'esclavage est-il la condition d'une sexualité épanouie ? Roch Baumert, Alix Eynaudi et Diederik Peeters apportent aux interrogations classiques de l'Antiquité un éclairage contemporain. Entre grandeur et décadence, ils ont choisi leur camp. La soirée prendra l'apparence d'un...

Alix Eynaudi + Diederik Peeters & Roch Baumert

swords & sandals

Roch Baumert, Alix Eynaudi et Diederik Peeters apportent aux interrogations classiques de l’Antiquité un éclairage contemporain. Entre grandeur et décadence, ils ont choisi leur camp.

Muscle dardé, érotisme voilé. De vastes portiques et la mer d'Italie. Les colonnes d'un temple, ambiance Quattro Stagioni. Swords & Sandals invite le péplum au Beursschouwburg les 14 et 15 janvier 2011. Le lion est-il le meilleur ami du chrétien ? L'esclavage est-il la condition d'une sexualité épanouie ? Roch Baumert, Alix Eynaudi et Diederik Peeters apportent aux interrogations classiques de l'Antiquité un éclairage contemporain. Entre grandeur et décadence, ils ont choisi leur camp. La soirée prendra l'apparence d'un...

Une sculpture en polyester est enfermée dans un coffre en bois. Durant la performance, le protagoniste respire à l’aide d’un équipement de plongée.
Le titre fait référence aux petits écriteaux rencontrés dans un zoo.
Le corps d’un homme nourri d’ingrédients matériels et/ou spirituels, se manifeste à un moment déterminé, au travers des récepteurs sensoriels externes et internes, par la respiration artificielle, les fonctions internes des organes. Il y a des liens et des interconnexions, l’échange de ‘nourriture’ nous fait entrer et sortir du corps. On retrouve une dimension de responsabilité sociale. Cela remet en question l’exposition insouciante d’une créature dotée d’une âme.

Un corps émotionnel constitue un lieu de rencontre et de dialogue permanent entre des rythmes, des histoires, des perceptions et des contextes. Ce qui m’intéresse dans le corps, c’est sa faculté à cohabiter, à échanger et à faire sens dans sa relation avec des éléments extérieurs. Je vois le corps émotionnel comme moteur de changement et de différence qualitative.

Moving You met en scène et en rôle un éventail de relations possibles que l'on peut avoir avec “un autre” ou “une chose”. Ces relations sociales et émotionnelles vont s'exprimer à travers des actions, des conflits, des célébrations, des interférences, des échanges et une variété d'émotions déchaînées. Comme son nom l'indique, “Moving you” a pour but de vous agiter par le biais des performeurs qu'elle agite. Moving You est un zoom dans la vie quotidienne en tant qu'apport créatif. Je voudrais créer un...

“Yes, and I personally met the devil at least three times face to face.”

Au centre de cette performance musicale se trouve une machine qui, apparemment, produit des expériences de mort imminente et une chanteuse Roumaine qui pense se trouver entre la vie et la mort. Trois personnages sinistres la regardent. Ils sont comme son ombre, son guide, la personnification de ses démons, comme les opérateurs de la machine à expériences extatiques. Ce qui en réalité se passe en un centième de seconde, dure pour elle une éternité. Le caractère répétitif de son expérience semble faire de chaque fin possible un retour vers le début. Elle passe au travers de différents états, de la dévotion, au désespoir, de l’obsession totale à l’extase.

Zanahoria est une conférence portant sur la bien connue carrotte que l’on tient devant nez de l’âne pour le faire avancer. Pour poursuivre leur hit-culte Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…’ (2007), Bryssinck & Peeters (à ce moment encore avec Danai Anesiadou) partirent à la recherche de ‘l’image ultime ». Celle-ci devait d’une part représenter le trio et d’autre part être la traduction parfaite de leur imagination la plus débridée. ils demandèrent à d’autres artistes de les guider dans cette quête, espérant que de cette façon des éléments inattendus et imprévisibles se glisseraient dans leur création, et puissent ainsi les surprendre eux-mêmes. « Zanahoria » raconte de façon légère l’histoire de cette quête: une folle oscillation entre attente pleine d’espoir et déception, entre hilarité et désespoir, entre vérité et fiction et entre vérité insipide et imagination intouchable.

“Yes, and I personally met the devil at least three times face to face.”

Au centre de cette performance musicale se trouve une machine qui, apparemment, produit des expériences de mort imminente et une chanteuse Roumaine qui pense se trouver entre la vie et la mort. Trois personnages sinistres la regardent. Ils sont comme son ombre, son guide, la personnification de ses démons, comme les opérateurs de la machine à expériences extatiques. Ce qui en réalité se passe en un centième de seconde, dure pour elle une éternité. Le caractère répétitif de son expérience semble faire de chaque fin possible un retour vers le début. Elle passe au travers de différents états, de la dévotion, au désespoir, de l’obsession totale à l’extase.

Une sculpture en polyester est enfermée dans un coffre en bois. Durant la performance, le protagoniste respire à l’aide d’un équipement de plongée.
Le titre fait référence aux petits écriteaux rencontrés dans un zoo.
Le corps d’un homme nourri d’ingrédients matériels et/ou spirituels, se manifeste à un moment déterminé, au travers des récepteurs sensoriels externes et internes, par la respiration artificielle, les fonctions internes des organes. Il y a des liens et des interconnexions, l’échange de ‘nourriture’ nous fait entrer et sortir du corps. On retrouve une dimension de responsabilité sociale. Cela remet en question l’exposition insouciante d’une créature dotée d’une âme.

“Yes, and I personally met the devil at least three times face to face.”

Au centre de cette performance musicale se trouve une machine qui, apparemment, produit des expériences de mort imminente et une chanteuse Roumaine qui pense se trouver entre la vie et la mort. Trois personnages sinistres la regardent. Ils sont comme son ombre, son guide, la personnification de ses démons, comme les opérateurs de la machine à expériences extatiques. Ce qui en réalité se passe en un centième de seconde, dure pour elle une éternité. Le caractère répétitif de son expérience semble faire de chaque fin possible un retour vers le début. Elle passe au travers de différents états, de la dévotion, au désespoir, de l’obsession totale à l’extase.

Zanahoria est une conférence portant sur la bien connue carrotte que l’on tient devant nez de l’âne pour le faire avancer. Pour poursuivre leur hit-culte Chuck Norris doesn’t sleep, he waits…’ (2007), Bryssinck & Peeters (à ce moment encore avec Danai Anesiadou) partirent à la recherche de ‘l’image ultime ». Celle-ci devait d’une part représenter le trio et d’autre part être la traduction parfaite de leur imagination la plus débridée. ils demandèrent à d’autres artistes de les guider dans cette quête, espérant que de cette façon des éléments inattendus et imprévisibles se glisseraient dans leur création, et puissent ainsi les surprendre eux-mêmes. « Zanahoria » raconte de façon légère l’histoire de cette quête: une folle oscillation entre attente pleine d’espoir et déception, entre hilarité et désespoir, entre vérité et fiction et entre vérité insipide et imagination intouchable.

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Some stories are treason, some are dreamy, some are brutal, some are too funny to believe, some are too painful to tell straight, some are magical and others are poorly made, some might be the honest truth, and some are beautiful but hard to remember. A narrative is a slippery thing.
Kate McIntosh a collaboré avec cinq écrivains pour le texte de sa nouvelle performance LOOSE PROMISE. Elle a donné les mêmes éléments narratifs de départ à tous les écrivains, mais elle a demandé à chacun d’eux d’écrire leur propre version de l’histoire. Le résultat est une collection de contes beaux, difficiles et prenants. Les histoires sont liées les unes aux autres par leur origine commune, mais chacune abouti de façon très différente et surprenante. Dans LOOSE PROMISE, la superposition des narrations fait émerger des mondes qui se font échos mais ne peuvent cependant pas co-exister, pendant que la performance elle même, partant de la fascination pour la complexité des histoires, explore notre compulsion à les former et à les digérer…

Sur scène, la performeuse esseulée a pour mission de rassembler à nouveau ces contes. En permettant aux événements qu'elle relate de reprendre vie par son corps, elle utilise des images, des gestes et des objets pour re-présenter les fragments de ces histoires. Les restes de ces différentes versions et try-outs s'accumulent sur scène, pendant que les histoires elle mêmes se superposent et hésitent entre différentes combinaisons invraisemblables. Dans LOOSE PROMISE, la narration et l'écoute sont toutes les deux du travail -...

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

David, un voyage en immobilité.
David, c’est le David de Michel-Ange.

Trois hommes sont ce David, ce David qui est tous les hommes. Invitant à l'observation obstinée de ces trois hommes en David, de ces trois hommes tenant la pose de la même manière que l'homme en tant qu'homme intime et social ne peut que tenir son rang, son rôle et sa nature d'homme, David propose un voyage en David, un voyage en l'homme, dans tous ses états, dans toute la richesse de sa complexité, de ses contradictions, du mouvement de ses humeurs toujours changeantes, des remous de son âme, de ses luttes et de ses abandons... Les...

Delgado Fuchs

Manteau Long

Théâtre de la Mauvaise TêteMarvejols, France

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

David, un voyage en immobilité.
David, c’est le David de Michel-Ange.

Trois hommes sont ce David, ce David qui est tous les hommes. Invitant à l'observation obstinée de ces trois hommes en David, de ces trois hommes tenant la pose de la même manière que l'homme en tant qu'homme intime et social ne peut que tenir son rang, son rôle et sa nature d'homme, David propose un voyage en David, un voyage en l'homme, dans tous ses états, dans toute la richesse de sa complexité, de ses contradictions, du mouvement de ses humeurs toujours changeantes, des remous de son âme, de ses luttes et de ses abandons... Les...

Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

Tout va bien?
Oui, tout roule.

D´une grande simplicité, la performance de Leentje Vandenbussche présente de vastes enjeux.

O est comme un buffet à volonté composé de Tout dans sa dimension la plus insaisissable et du tout de notre environnement quotidien. Jouez-vous la carte de l’abondance ou composez-vous soigneusement chaque assiette? Tout est entre vos mains.Pas deregard indiscret, pas de compte à rendre, tout est possible, tout est bon.

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

Sara Manente

Faire un four

work in progress

 

Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».

Comment reconnaissons-nous un objet en tant que tel, une personne en tant que quelqu'un? Faire un Four part de quatre personnes et de leurs danses. Au lieu de viser l'individualité, la pièce les réunit dans un espace à multiples niveaux faits de différentes façons de danser ou d'approches diverses de la danse. Cet espace chorégraphique naît progressivement à travers un processus mutuel d'interprétations, de modifications et d'adaptations des mouvements. Quatre solos (le prologue) génèrent le point de départ de chaque soirée....

DARK MATTER est la nouvelle performance de Kate McIntosh. Sous les projecteurs se tient une femme dans une robe étincelante, portant néanmoins une longue barbe grise. Les assistants aident McIntosh à manipuler les outils sur scène. Elle décrit DARK MATTER comme une tentative de mettre en scène des questions philosophiques et scientifiques avec tout le glamour du showbiz et d’illustrer ces thèmes existentiels – ou peut-être même de les expliquer – au moyen d’expériences que les garçons font à la maison et dans le jardin.

Attendre le tram, attendre son café, attendre une lettre, attendre un amant. Nous sommes quotidiennement confrontés à l’attente sous ses mille et une formes. C’est une partie de la vie, ou c’est peut-être la vie elle-même.

Le thème de la performance se compose de cette action ou plutôt, l'attente devient la performance elle-même.Les participants sont invités à attendre dans un endroit déterminé de l'espace public pendant un certain laps de temps. Disposés selon un certain tracé géométrique, leurs corps se répercutent sur le temps telles les aiguilles d'une montre. Ce qui offre un contraste frappant avec la vitesse à laquelle des centaines de passants traversent la vie.Par cette approche passionnante, les limites du théâtre sont dépassées....

Tout va bien?
Oui, tout roule.

D´une grande simplicité, la performance de Leentje Vandenbussche présente de vastes enjeux.

O est comme un buffet à volonté composé de Tout dans sa dimension la plus insaisissable et du tout de notre environnement quotidien. Jouez-vous la carte de l’abondance ou composez-vous soigneusement chaque assiette? Tout est entre vos mains.Pas deregard indiscret, pas de compte à rendre, tout est possible, tout est bon.

Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…

 

Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».

Comment reconnaissons-nous un objet en tant que tel, une personne en tant que quelqu'un? Faire un Four part de quatre personnes et de leurs danses. Au lieu de viser l'individualité, la pièce les réunit dans un espace à multiples niveaux faits de différentes façons de danser ou d'approches diverses de la danse. Cet espace chorégraphique naît progressivement à travers un processus mutuel d'interprétations, de modifications et d'adaptations des mouvements. Quatre solos (le prologue) génèrent le point de départ de chaque soirée....

Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…

Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…

Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…

Le silence des danses, se compose de trois performances qu’elle montre dans trois espaces différents des Kaaistudio’s.

Avec Le silence des danses, Merlin Spie s’engage sur une nouvelle voie. Elle quitte le domaine de la plastique pure et veut amorcer une mise en regard avec d’autres médias : images numériques, paysages sonores, textes, danse, etc. Ce choix l’entraîne dans une organisation de travail différente, qui implique des collaborations avec des artistes actifs dans ces disciplines diverses. Qui plus est, Merlin Spie était jusqu’à présent la principale, et souvent l’unique, interprète de ses performances.
Dans les deux premières parties du Silence des danses, elle intervient en tant que metteure en scène-sculpteure des autres performeurs. Dans la troisième partie, elle est présente en personne. Cette nouvelle phase dans l’évolution de son œuvre signifie avant tout un nouveau pas dans sa quête de l’abstraction et de la pureté et une transition des images figées, immobiles et respirantes à des images en mouvement.
Le silence des danses embrasse l’abstraction et donne libre cours aux mouvements, sans perdre l’intuition.

Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…

Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…

Bernard Van Eeghem + Catherine Graindorge + Katja Dreyer

kayak

PREMIERE

Pour leur nouvelle production de théâtre ‘Kayak’, les performeurs-complices Bernard Van Eeghem, Catherine Graindorge et Katja Dreyer se retrouvent pour la première fois à trois. ‘

Kayak-preludium’ représente la première phase de leur recherche sur les connotations du mot “tomber”. La traversée risquée en pleine mer d’Andrew McAuley dans son kayak, la vision de la chute comme geste artistique par Bas Jan Alder et les tours de force du funambule Philippe Petit les guident dans cette recherche. Comme des vrais équilibristes Van Eeghem, Graindorge et Dreyer s’aventurent sur ce fin fil entre sérieux et frivolité, philosophie et cliché....

Bernard Van Eeghem + Catherine Graindorge + Katja Dreyer

kayak

Pour leur nouvelle production de théâtre ‘Kayak’, les performeurs-complices Bernard Van Eeghem, Catherine Graindorge et Katja Dreyer se retrouvent pour la première fois à trois. ‘

Kayak-preludium’ représente la première phase de leur recherche sur les connotations du mot “tomber”. La traversée risquée en pleine mer d’Andrew McAuley dans son kayak, la vision de la chute comme geste artistique par Bas Jan Alder et les tours de force du funambule Philippe Petit les guident dans cette recherche. Comme des vrais équilibristes Van Eeghem, Graindorge et Dreyer s’aventurent sur ce fin fil entre sérieux et frivolité, philosophie et cliché....