L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
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L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
King Dom est un château miniature gothique dans lequel tout est pourri. Les chambres sont pourries, les draps sont pourris, le sperme collé aux draps est pourri, et les rêves rêvés dans les draps pourris, sont pourris. Dans cet état avancé de pourrissement, on imagine aisément que cette pièce ne parle que de déclin existentiel; ça n’est pas le cas, King Dom est aussi un conte qui parle d’amour paternel.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
Retraite dans l’espace public
Notre vie est dominée par une économie qui ne dort
jamais. Quel est son impact sur notre rapport au temps,
au travail et au corps?
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
King Dom est un château miniature gothique dans lequel tout est pourri. Les chambres sont pourries, les draps sont pourris, le sperme collé aux draps est pourri, et les rêves rêvés dans les draps pourris, sont pourris. Dans cet état avancé de pourrissement, on imagine aisément que cette pièce ne parle que de déclin existentiel; ça n’est pas le cas, King Dom est aussi un conte qui parle d’amour paternel.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
La Wallifornie est souvent décrite comme une terre difficile à atteindre, où les forêts abondent encore et où la bière s’écoule tout naturellement des robinets domestiques. Nombreux sont ceux qui pensent que le nom « Wallifornie » est un des dérivés de celui du paradis terrestre disparu dans les inondations. Billevesées !
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
Sur un énorme drap Bernard Van Eeghem retrace en peinture les moments forts de l’histoire du monde et de l’art. Un voyage allant de nos origines à la naissance de cette oeuvre live. L’un influencent l’autre: sa performance est un véritable récit. Une expérience unique pour les spectateurs.
A l’ombre des jeunes filles en fleurs, à 37º le matin et au péril de son coeur, Adolphe, un homme venu de la nuit ainsi qu’un héros très discret, à voix basse, déclare son amour à Fanfan. Dans la plus grande joie où deux et deux font trois comme à travers le feu, ils s’en vont, elle et lui, d’un château à l’autre, la terre sur les épaules, à travers le blé qui lève comme une symphonie pastorale et en traversant les carrefours des solitudes, le coeur en poche comme si notre prison était un royaume. Mais un jour d’orage, le vent de la haine, comme un éclat de rire, atterrit dans le village englouti et la belle alliance s’en va et les nuits fauves accouchent enfin une sombre histoire comme un sac de billes et sa cendre. Plus tard, dans un pays lointain, les enfants aux cheveux gris, Fanfan et Adolphe, tous les deux immobiles dans le courant du fleuve, sous les étoiles de minuit, ils attendent l’heure de leur mort. Puis passe une caravane sans chameaux. Bonjour tristesse.
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
Welcome To the Jungle is a performance installation inspired by the potential implications of the ecological term ‘global weirding’.
Les «Phenomena» ou phénomènes sont des actions provoquées par des individus, des moments au sens limité montant à la surface, des éclats, le vide, des réactions et des amplifications d’une narration qui prend forme d’une manière turbulente.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
Monique puise son inspiration dans le bondage, transformant sa pratique en instructions chorégraphiques. Comment pervertir un acte « pervert »?
Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».
Retraite dans l’espace public
Notre vie est dominée par une économie qui ne dort
jamais. Quel est son impact sur notre rapport au temps,
au travail et au corps?
Merlin Spie participera à l’exposition collective d’été Sponsored by Nature de la Fondation Verbeke. Elle est en résidence jusqu’à l’ouverture en mai. Depuis 2000, Merlin Spie est surtout connu comme un artiste de LIVE ART performances, pourtant les relations avec les beaux-arts ont toujours été très présente.
Avant 2000, son travail a évolué dans de grandes constructions et elle a travaillé avec des matériaux comme beurre et le sirop de poire. Pour cette exposition, elle travaillera avec ces matériaux typiques.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
Les œuvres de science-fiction nous font entrevoir une civilisation du futur en nous racontant les aventures de l’un de ses habitants.
Some use for your broken clay pots nous livre au contraire le code qui régit la vie de la société qui y est imaginée.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
“The art of storytelling is reaching its end because the epic side of truth, wisdom, is dying out. At the same time it is now possible to see a new beauty in what is vanishing.” Walter Benjamin, The Storyteller
« When I travel through my room, I rarely follow a straight line, I go from the table towards a picture hanging in a corner, from there I only want to encounter the door, when I begin it is always my intention to get there, but then I meet my armchair en route and I don’t think twice and settle down in it without further ado » Xavier De Maistre, Voyage autour de ma chambre
Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **
Avec This Place, Marcos Simões et Sara Manente invitent un « couple artistique » à partager un espace de travail ainsi qu’un certain nombre de pratiques pendant deux semaines. Le projet est un catalogue de sept variations avec sept couples différents. En ce sens, This Place est un projet qui part de l’intention de décliner sa proposition en même temps qu’on le déplace géographiquement. Déplacer son contexte et sa performativité. Cela réside dans le potentiel de chacun mais aussi dans la manière dont les variations se répondent.
Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **
Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **
“The art of storytelling is reaching its end because the epic side of truth, wisdom, is dying out. At the same time it is now possible to see a new beauty in what is vanishing.” Walter Benjamin, The Storyteller
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
King Dom est un château miniature gothique dans lequel tout est pourri. Les chambres sont pourries, les draps sont pourris, le sperme collé aux draps est pourri, et les rêves rêvés dans les draps pourris, sont pourris. Dans cet état avancé de pourrissement, on imagine aisément que cette pièce ne parle que de déclin existentiel; ça n’est pas le cas, King Dom est aussi un conte qui parle d’amour paternel.
Hertz, la performance-concert du chorégraphe Sidney Leoni, est soumise à l’obscurité, à des niveaux de pression acoustique élevés, des vibrations et du brouillard.
King Dom est un château miniature gothique dans lequel tout est pourri. Les chambres sont pourries, les draps sont pourris, le sperme collé aux draps est pourri, et les rêves rêvés dans les draps pourris, sont pourris. Dans cet état avancé de pourrissement, on imagine aisément que cette pièce ne parle que de déclin existentiel; ça n’est pas le cas, King Dom est aussi un conte qui parle d’amour paternel.
Les «Phenomena» ou phénomènes sont des actions provoquées par des individus, des moments au sens limité montant à la surface, des éclats, le vide, des réactions et des amplifications d’une narration qui prend forme d’une manière turbulente.
Monique puise son inspiration dans le bondage, transformant sa pratique en instructions chorégraphiques. Comment pervertir un acte « pervert »?
Welcome To the Jungle is a performance installation inspired by the potential implications of the ecological term ‘global weirding’.
Monique puise son inspiration dans le bondage, transformant sa pratique en instructions chorégraphiques. Comment pervertir un acte « pervert »?
And the Lord God called unto Adam and said unto him, Where art thou? – Gen. 3:9
“The art of storytelling is reaching its end because the epic side of truth, wisdom, is dying out. At the same time it is now possible to see a new beauty in what is vanishing.” Walter Benjamin, The Storyteller
Hoe een brein werkt. Een kunstenaar zijn taal zoekt. Een ambacht een middel wordt. Een mens probeert te begrijpen.
De onderzoeksmethode van Leentje Vandenbussche leunt aan de waanzin. Aan de hand van verschillende monnikenwerken zocht ze naar een houvast in de weidse onderwerpen alles en niets. Gedragen (/onderworpen) door een isolaat, monotoom ritme leveren haar onderzoekstudies intrigerende resultaten.
Le Mythe de la Grande Transition est un récit philosophique plein d’animaux sauvages, de joie et de résistance.
Avec This Place, Marcos Simões et Sara Manente invitent un « couple artistique » à partager un espace de travail ainsi qu’un certain nombre de pratiques pendant deux semaines. Le projet est un catalogue de sept variations avec sept couples différents. En ce sens, This Place est un projet qui part de l’intention de décliner sa proposition en même temps qu’on le déplace géographiquement. Déplacer son contexte et sa performativité. Cela réside dans le potentiel de chacun mais aussi dans la manière dont les variations se répondent.
Monique puise son inspiration dans le bondage, transformant sa pratique en instructions chorégraphiques. Comment pervertir un acte « pervert »?
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
Pieter De Buysser + Hans Op de Beeck
Book Burning
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
“The art of storytelling is reaching its end because the epic side of truth, wisdom, is dying out. At the same time it is now possible to see a new beauty in what is vanishing.” Walter Benjamin, The Storyteller
Avec This Place, Marcos Simões et Sara Manente invitent un « couple artistique » à partager un espace de travail ainsi qu’un certain nombre de pratiques pendant deux semaines. Le projet est un catalogue de sept variations avec sept couples différents. En ce sens, This Place est un projet qui part de l’intention de décliner sa proposition en même temps qu’on le déplace géographiquement. Déplacer son contexte et sa performativité. Cela réside dans le potentiel de chacun mais aussi dans la manière dont les variations se répondent.
Le chorégraphe et artiste français Gaëtan Rusquet fait réaliser une construction à trois performeurs. Alors même qu’ils l’édifient, il leur faut résister à l’anéantissement de leur entreprise. Elle s’effrite et tombe en ruine.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.