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Why Me? est une œuvre visuelle d’ensemble de Bernard Van Eeghem. Cet ensemble est pris dans une trame hippodamique: l’axe avec les disciplines les plus variées en horizontal, et en vertical, l’axe temporel, depuis avant la naissance jusqu’après la mort.

Parce qu'il ne semble pas toujours y avoir d'œuvres disponibles pour chaque période ou qu'il n'en existe tout simplement pas, certains éléments seront complétés de manière fictive et conceptuelle. La beauté se déploie à partir de la trame dure, le long de lignes d'une progressivité non conventionnelle. Sans regarder en arrière....

Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…

 

Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».

Comment reconnaissons-nous un objet en tant que tel, une personne en tant que quelqu'un? Faire un Four part de quatre personnes et de leurs danses. Au lieu de viser l'individualité, la pièce les réunit dans un espace à multiples niveaux faits de différentes façons de danser ou d'approches diverses de la danse. Cet espace chorégraphique naît progressivement à travers un processus mutuel d'interprétations, de modifications et d'adaptations des mouvements. Quatre solos (le prologue) génèrent le point de départ de chaque soirée....

Thomas Ryckewaert

Portrait

PREMIERE

Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.

Bernard Van Eeghem + Catherine Graindorge + Katja Dreyer

kayak

Pour leur nouvelle production de théâtre ‘Kayak’, les performeurs-complices Bernard Van Eeghem, Catherine Graindorge et Katja Dreyer se retrouvent pour la première fois à trois. ‘

Kayak-preludium’ représente la première phase de leur recherche sur les connotations du mot “tomber”. La traversée risquée en pleine mer d’Andrew McAuley dans son kayak, la vision de la chute comme geste artistique par Bas Jan Alder et les tours de force du funambule Philippe Petit les guident dans cette recherche. Comme des vrais équilibristes Van Eeghem, Graindorge et Dreyer s’aventurent sur ce fin fil entre sérieux et frivolité, philosophie et cliché....

Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.

Welcome To the Jungle is a performance installation inspired by the potential implications of the ecological term ‘global weirding’.

Using a labyrinth of various mirror foils, Welcome To the Jungle proposes a 'house of mirrors' where the audience, inside of the space, has to navigate trying to find which way is which. Smells designed by perfumer Laurent-David Garnier, a set designed in collaboration with scenographer Erki De Vries, as well as water mists, temperature fluctuations, wind, and vibration applied to the frames of the mirror foils are used to create an immaterial yet nevertheless sensorial parcours for the audience. The costuming of audience and performers alike...

Imbriqués dans l’installation Diggin’ Up 2 [Digital light/Absorption], les corps et leur présence offrent une perception inversée: au lieu de réfléchir la lumière, ils l’absorbent.

Le dessin dans lequel les corps s'inscrivent offre différents contours, différents codes de représentation. L'aspect hypnotique de cette rencontre invite l'œil à mesurer combien relative est la notion d'espace. Avec Diggin' Up 2, qui pourra être joué avec ou sans interprètes, nous pénétrons d'une autre façon encore l'espace de la représentation basée sur toute l'ambiguïté de la "présence" du performeur. A-t-il besoin d'être physiquement là? Sa représentation suffit-elle pour nous faire ressentir sa présence...

Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.

Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.

Bernard Van Eeghem + Catherine Graindorge + Katja Dreyer

kayak

Pour leur nouvelle production de théâtre ‘Kayak’, les performeurs-complices Bernard Van Eeghem, Catherine Graindorge et Katja Dreyer se retrouvent pour la première fois à trois. ‘

Kayak-preludium’ représente la première phase de leur recherche sur les connotations du mot “tomber”. La traversée risquée en pleine mer d’Andrew McAuley dans son kayak, la vision de la chute comme geste artistique par Bas Jan Alder et les tours de force du funambule Philippe Petit les guident dans cette recherche. Comme des vrais équilibristes Van Eeghem, Graindorge et Dreyer s’aventurent sur ce fin fil entre sérieux et frivolité, philosophie et cliché....

Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.

Let’s get physical se veut un prolongement de Manteau long…, pièce précédente du collectif Delgado Fuchs.
Les deux artistes poursuivent leurs recherches autour de leurs fascinations communes; celle de l’apprêt du corps (déshabillage, travestissement, installation) et celle de la pratique de la culture physique, en ce qu’elle permet de repousser les limites du corps et de le transformer potentiellement à l’infini. « Mais qu’est-ce que c’est ce corps ? » Let’s get physical verra aussi une vingtaine de personnes investir le plateau avec les Delgado Fuchs.

Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.

Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.

En Décembre 2010 Ernst Maréchal a réalisé Blue Key Identity pour le Spoken World Festival du Kaaitheater. Blue Key Identity était un prolongement des projets social-artistiques: ‘De Tafelkeuken’ et ‘Made in Belgium’. Deux projets remarqués avec la collaboration de Globe Aroma et les demandeurs d’asile du Petit Château.

Les réfugiés sont littéralement coincés entre leur pays d’origine et leur pays d’accueil. Le metteur en scène Ernst Maréchal raconte l’histoire de mères et de fils séparés les uns des autres. Il part trouver les mamans dans les pays d’origine, en l’espèce Syrie et Congo, pour réaliser un dialogue filmique entre ici et là-bas. Il se sert pour cela de la technique du Blue Key Identity, qui consiste à filmer sur un fond bleu que l’on rend ensuite transparent. Cela permet de placer l’objet ou le sujet...

Let’s get physical se veut un prolongement de Manteau long…, pièce précédente du collectif Delgado Fuchs.
Les deux artistes poursuivent leurs recherches autour de leurs fascinations communes; celle de l’apprêt du corps (déshabillage, travestissement, installation) et celle de la pratique de la culture physique, en ce qu’elle permet de repousser les limites du corps et de le transformer potentiellement à l’infini. « Mais qu’est-ce que c’est ce corps ? » Let’s get physical verra aussi une vingtaine de personnes investir le plateau avec les Delgado Fuchs.

Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **

Van Eeghem raconte des anecdotes de sa jeunesse à Bruges. Un jour, son père l'a emmené à la Procession du Saint-Sang. Voilà qui l'a marqué de manière indélébile. Dans son spectacle, Van Eeghem peint ce qu'il raconte et raconte ce qu'il peint. Pour aboutir à son histoire personnelle et sa prime enfance. ...

“Yes, and I personally met the devil at least three times face to face.”

Au centre de cette performance musicale se trouve une machine qui, apparemment, produit des expériences de mort imminente et une chanteuse Roumaine qui pense se trouver entre la vie et la mort. Trois personnages sinistres la regardent. Ils sont comme son ombre, son guide, la personnification de ses démons, comme les opérateurs de la machine à expériences extatiques. Ce qui en réalité se passe en un centième de seconde, dure pour elle une éternité. Le caractère répétitif de son expérience semble faire de chaque fin possible un retour vers le début. Elle passe au travers de différents états, de la dévotion, au désespoir, de l’obsession totale à l’extase.

War of Fictions est une performance composée comme une série de paysages, principalement produite par la présence de deux interprètes peuplant des espaces fictifs et imaginaires. Les interprètes investissent physiquement, et par des postures extrêmes, des sensations, des actions exécutées dans la durée, et qui impliquent d’autres façons de toucher à l’espace environnant, au temps, à la gravité, aux images et au comportement social.

A hunched figure is walking slowly in the distance. A gust of wind brings a smell that makes your thoughts wander off. When you look up next, the figure seems closer. You sense that there could be other figures in this land, but you can’t see them. The floor is rocking softly beneath your feet. One of the performers comes closer and looks at your hands. The room feels warmer. Is it the thick, colored light projected on your skin that makes you feel this way? The floor is cracking, opening holes in which figures keep falling and then...

Seven adults, three children, a layer that floats above the floor, a bunch of hands that float above a woman, shadows of a woman on the floor, a broken man against the wall and a spine. Artificial air floats in a tank and there’s a black circle.

This work talks about death (black) and live (circular air). The life as an element in an abstract construction (square as an ultimate cultivation), the stratification (platform), the horizontal and vertical thinking, about the intuitive truth (shadows), mystical heights (triangle) of the inner sight without opening the eyes as an external sense (title).

The installation is 15m on 10m, and 5m high.

Le silence des danses, se compose de trois performances qu’elle montre dans trois espaces différents des Kaaistudio’s.

Avec Le silence des danses, Merlin Spie s’engage sur une nouvelle voie. Elle quitte le domaine de la plastique pure et veut amorcer une mise en regard avec d’autres médias : images numériques, paysages sonores, textes, danse, etc. Ce choix l’entraîne dans une organisation de travail différente, qui implique des collaborations avec des artistes actifs dans ces disciplines diverses. Qui plus est, Merlin Spie était jusqu’à présent la principale, et souvent l’unique, interprète de ses performances.
Dans les deux premières parties du Silence des danses, elle intervient en tant que metteure en scène-sculpteure des autres performeurs. Dans la troisième partie, elle est présente en personne. Cette nouvelle phase dans l’évolution de son œuvre signifie avant tout un nouveau pas dans sa quête de l’abstraction et de la pureté et une transition des images figées, immobiles et respirantes à des images en mouvement.
Le silence des danses embrasse l’abstraction et donne libre cours aux mouvements, sans perdre l’intuition.

Let’s get physical se veut un prolongement de Manteau long…, pièce précédente du collectif Delgado Fuchs.
Les deux artistes poursuivent leurs recherches autour de leurs fascinations communes; celle de l’apprêt du corps (déshabillage, travestissement, installation) et celle de la pratique de la culture physique, en ce qu’elle permet de repousser les limites du corps et de le transformer potentiellement à l’infini. « Mais qu’est-ce que c’est ce corps ? » Let’s get physical verra aussi une vingtaine de personnes investir le plateau avec les Delgado Fuchs.

« When I travel through my room, I rarely follow a straight line, I go from the table towards a picture hanging in a corner, from there I only want to encounter the door, when I begin it is always my intention to get there, but then I meet my armchair en route and I don’t think twice and settle down in it without further ado » Xavier De Maistre, Voyage autour de ma chambre

 

Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».

Comment reconnaissons-nous un objet en tant que tel, une personne en tant que quelqu'un? Faire un Four part de quatre personnes et de leurs danses. Au lieu de viser l'individualité, la pièce les réunit dans un espace à multiples niveaux faits de différentes façons de danser ou d'approches diverses de la danse. Cet espace chorégraphique naît progressivement à travers un processus mutuel d'interprétations, de modifications et d'adaptations des mouvements. Quatre solos (le prologue) génèrent le point de départ de chaque soirée....

Leentje Vandenbussche + PETER AERS, TIJS CEULEMANS

LIGHT MEDIUM STRONG

STRONG

Première

LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.

Ils ont traduit leurs expériences en trois spectacles, LIGHT, MEDIUM et STRONG, qui invitent le public au dialogue. Si l'accent est mis sur l'expérience intense dans l'un des spectacles et sur une analyse rationnelle dans un autre, ils expriment tous trois une grande curiosité et sont empreints d'une immense compassion. LIGHT est une confrontation à l'incapacité de partager un moment intense; le public en est le témoin muet. STRONG, en revanche, est une expérience dénuée de danger, mais qui ne s'oublie pas. MEDIUM oscille entre les...

L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.

Raconté par un chat, Book Burning est l'histoire d'un homme qui rayonne tantdis que sa fille plonge au fond d'un coffre. Est-ce une fable? Probablement c'est du théâtre politique, voire utopique. Non pas parce qu'il est empreigné de bonnes intentions avec un programme idéologique mais parce qu'il mise sur les possibilités magiques de la langue et de l'imagination radicale. Book Burning n'est pas ce que c'est, mais ce que ça pourrait être: une proposition pour le début d'un nouveau monde. "Accessible, brillant et somme toute...

L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.

Raconté par un chat, Book Burning est l'histoire d'un homme qui rayonne tantdis que sa fille plonge au fond d'un coffre. Est-ce une fable? Probablement c'est du théâtre politique, voire utopique. Non pas parce qu'il est empreigné de bonnes intentions avec un programme idéologique mais parce qu'il mise sur les possibilités magiques de la langue et de l'imagination radicale. Book Burning n'est pas ce que c'est, mais ce que ça pourrait être: une proposition pour le début d'un nouveau monde. "Accessible, brillant et somme toute...

Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.

Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **

Van Eeghem raconte des anecdotes de sa jeunesse à Bruges. Un jour, son père l'a emmené à la Procession du Saint-Sang. Voilà qui l'a marqué de manière indélébile. Dans son spectacle, Van Eeghem peint ce qu'il raconte et raconte ce qu'il peint. Pour aboutir à son histoire personnelle et sa prime enfance. ...

Endless Medication est un petit théâtre de variété coloré de musique nostalgique
a l’accordéon, un monde qui vacille entre délire et réalité, entre extase et blasphème. C’est l’univers fou de deux femmes en recherche de leur propre langue, leurs propres hallucinations et leur propre réalité.

Rosa ne pleure jamais, elle porte des couronnes de fleurs avec des clous qui lui coupent la chaire, elle cueille des fleurs moches en plastiques dans les cimetières de béton qu’elle replante dans ses bras et elle tricote des couvertures d’insectes. Rosa veut devenir un fakir. Un jour, Dieu lui rend visite et lui raconte que le nouveau messie grandit dans son intestin gros. Il interdit à Rosa de manger, elle ne peut aspirer que de l’air, parce qu’un enfant de Dieu ne peut pas naître dans la merde. Mais de dures épreuves...

Monique puise son inspiration dans le bondage, transformant sa pratique en instructions chorégraphiques. Comment pervertir un acte « pervert »?

Une stratégie similaire a été appliquée à tous les éléments dans Monique: tous les collaborateurs cherchèrent des moyens irrespectueux de travailler avec des éléments qu'ils adoraient. Ainsi, différentes techniques de corps sont corrompues et joyeusement mélangées avec l'horizon infini d'images connues du corps en mouvement, comme la gymnastique, la danse contemporaine, la danse moderne, les jeux sexuels, diverses pratiques thérapeuthiques… "SM meets action art meets contact improvisation meets les ballets...

L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.

Raconté par un chat, Book Burning est l'histoire d'un homme qui rayonne tantdis que sa fille plonge au fond d'un coffre. Est-ce une fable? Probablement c'est du théâtre politique, voire utopique. Non pas parce qu'il est empreigné de bonnes intentions avec un programme idéologique mais parce qu'il mise sur les possibilités magiques de la langue et de l'imagination radicale. Book Burning n'est pas ce que c'est, mais ce que ça pourrait être: une proposition pour le début d'un nouveau monde. "Accessible, brillant et somme toute...

L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.

Raconté par un chat, Book Burning est l'histoire d'un homme qui rayonne tantdis que sa fille plonge au fond d'un coffre. Est-ce une fable? Probablement c'est du théâtre politique, voire utopique. Non pas parce qu'il est empreigné de bonnes intentions avec un programme idéologique mais parce qu'il mise sur les possibilités magiques de la langue et de l'imagination radicale. Book Burning n'est pas ce que c'est, mais ce que ça pourrait être: une proposition pour le début d'un nouveau monde. "Accessible, brillant et somme toute...

Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **

Van Eeghem raconte des anecdotes de sa jeunesse à Bruges. Un jour, son père l'a emmené à la Procession du Saint-Sang. Voilà qui l'a marqué de manière indélébile. Dans son spectacle, Van Eeghem peint ce qu'il raconte et raconte ce qu'il peint. Pour aboutir à son histoire personnelle et sa prime enfance. ...

Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **

Van Eeghem raconte des anecdotes de sa jeunesse à Bruges. Un jour, son père l'a emmené à la Procession du Saint-Sang. Voilà qui l'a marqué de manière indélébile. Dans son spectacle, Van Eeghem peint ce qu'il raconte et raconte ce qu'il peint. Pour aboutir à son histoire personnelle et sa prime enfance. ...

Le cortège de monstres maniaques viennent couronner leur reine et brûler la sorcière. Une bande de gros motards à vestes de cuir à franges et casques de vikings essayent de sauver la vierge et l’innocente, y parviendront-ils? Et avec un peu de chance dans tout ce bordel, un cœur d’enfant spectral viendra nous chanter des mélopées sinistres, qu’il vaudrai mieux oublier avant de s’endormir.

Pieter De Buysser + Hans Op de Beeck

Book Burning

L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.

Raconté par un chat, Book Burning est l'histoire d'un homme qui rayonne tantdis que sa fille plonge au fond d'un coffre. Est-ce une fable? Probablement c'est du théâtre politique, voire utopique. Non pas parce qu'il est empreigné de bonnes intentions avec un programme idéologique mais parce qu'il mise sur les possibilités magiques de la langue et de l'imagination radicale. Book Burning n'est pas ce que c'est, mais ce que ça pourrait être: une proposition pour le début d'un nouveau monde. "Accessible, brillant et somme toute...

Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **

Van Eeghem raconte des anecdotes de sa jeunesse à Bruges. Un jour, son père l'a emmené à la Procession du Saint-Sang. Voilà qui l'a marqué de manière indélébile. Dans son spectacle, Van Eeghem peint ce qu'il raconte et raconte ce qu'il peint. Pour aboutir à son histoire personnelle et sa prime enfance. ...

Pieter De Buysser + Hans Op de Beeck

Book Burning

L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.

Raconté par un chat, Book Burning est l'histoire d'un homme qui rayonne tantdis que sa fille plonge au fond d'un coffre. Est-ce une fable? Probablement c'est du théâtre politique, voire utopique. Non pas parce qu'il est empreigné de bonnes intentions avec un programme idéologique mais parce qu'il mise sur les possibilités magiques de la langue et de l'imagination radicale. Book Burning n'est pas ce que c'est, mais ce que ça pourrait être: une proposition pour le début d'un nouveau monde. "Accessible, brillant et somme toute...

War of Fictions est une performance composée comme une série de paysages, principalement produite par la présence de deux interprètes peuplant des espaces fictifs et imaginaires. Les interprètes investissent physiquement, et par des postures extrêmes, des sensations, des actions exécutées dans la durée, et qui impliquent d’autres façons de toucher à l’espace environnant, au temps, à la gravité, aux images et au comportement social.

A hunched figure is walking slowly in the distance. A gust of wind brings a smell that makes your thoughts wander off. When you look up next, the figure seems closer. You sense that there could be other figures in this land, but you can’t see them. The floor is rocking softly beneath your feet. One of the performers comes closer and looks at your hands. The room feels warmer. Is it the thick, colored light projected on your skin that makes you feel this way? The floor is cracking, opening holes in which figures keep falling and then...

War of Fictions est une performance composée comme une série de paysages, principalement produite par la présence de deux interprètes peuplant des espaces fictifs et imaginaires. Les interprètes investissent physiquement, et par des postures extrêmes, des sensations, des actions exécutées dans la durée, et qui impliquent d’autres façons de toucher à l’espace environnant, au temps, à la gravité, aux images et au comportement social.

A hunched figure is walking slowly in the distance. A gust of wind brings a smell that makes your thoughts wander off. When you look up next, the figure seems closer. You sense that there could be other figures in this land, but you can’t see them. The floor is rocking softly beneath your feet. One of the performers comes closer and looks at your hands. The room feels warmer. Is it the thick, colored light projected on your skin that makes you feel this way? The floor is cracking, opening holes in which figures keep falling and then...

War of Fictions est une performance composée comme une série de paysages, principalement produite par la présence de deux interprètes peuplant des espaces fictifs et imaginaires. Les interprètes investissent physiquement, et par des postures extrêmes, des sensations, des actions exécutées dans la durée, et qui impliquent d’autres façons de toucher à l’espace environnant, au temps, à la gravité, aux images et au comportement social.

A hunched figure is walking slowly in the distance. A gust of wind brings a smell that makes your thoughts wander off. When you look up next, the figure seems closer. You sense that there could be other figures in this land, but you can’t see them. The floor is rocking softly beneath your feet. One of the performers comes closer and looks at your hands. The room feels warmer. Is it the thick, colored light projected on your skin that makes you feel this way? The floor is cracking, opening holes in which figures keep falling and then...

Leentje Vandenbussche + PETER AERS, TIJS CEULEMANS

LIGHT MEDIUM STRONG

LIGHT

LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.

Ils ont traduit leurs expériences en trois spectacles, LIGHT, MEDIUM et STRONG, qui invitent le public au dialogue. Si l'accent est mis sur l'expérience intense dans l'un des spectacles et sur une analyse rationnelle dans un autre, ils expriment tous trois une grande curiosité et sont empreints d'une immense compassion. LIGHT est une confrontation à l'incapacité de partager un moment intense; le public en est le témoin muet. STRONG, en revanche, est une expérience dénuée de danger, mais qui ne s'oublie pas. MEDIUM oscille entre les...

Pieter De Buysser + Hans Op de Beeck

Book Burning

L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.

Raconté par un chat, Book Burning est l'histoire d'un homme qui rayonne tantdis que sa fille plonge au fond d'un coffre. Est-ce une fable? Probablement c'est du théâtre politique, voire utopique. Non pas parce qu'il est empreigné de bonnes intentions avec un programme idéologique mais parce qu'il mise sur les possibilités magiques de la langue et de l'imagination radicale. Book Burning n'est pas ce que c'est, mais ce que ça pourrait être: une proposition pour le début d'un nouveau monde. "Accessible, brillant et somme toute...

Manah Depauw + Cathy Weyders

La wallifornie

La Wallifornie est souvent décrite comme une terre difficile à atteindre, où les forêts abondent encore et où la bière s’écoule tout naturellement des robinets domestiques. Nombreux sont ceux qui pensent que le nom « Wallifornie » est un des dérivés de celui du paradis terrestre disparu dans les inondations. Billevesées !

La « Wallifornie ou Wallifornia » aurait un lien plus étroit avec les premiers réfugiés climatiques flandriens. C’est lorsque ces derniers térriblement affaiblis par la montée des eaux qui submergèrent leur région et furent accueillis par cette population qu’ils baptisèrent la région Wallifornia. Wali pour haut en référence à ces nombreuses petites collines et fornia pour fourneau en référence à la chaleur de ses habitants. La metteur en scène Manah Depauw et la plasticienne Cathy Weyders se sont associées afin...

Leentje Vandenbussche + PETER AERS, TIJS CEULEMANS

LIGHT MEDIUM STRONG

STRONG

LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.

Ils ont traduit leurs expériences en trois spectacles, LIGHT, MEDIUM et STRONG, qui invitent le public au dialogue. Si l'accent est mis sur l'expérience intense dans l'un des spectacles et sur une analyse rationnelle dans un autre, ils expriment tous trois une grande curiosité et sont empreints d'une immense compassion. LIGHT est une confrontation à l'incapacité de partager un moment intense; le public en est le témoin muet. STRONG, en revanche, est une expérience dénuée de danger, mais qui ne s'oublie pas. MEDIUM oscille entre les...

The Artificial Nature Project, une nouvelle rencontre entre interprètes humains et non humains, s’appuie sur les questions suivantes:
Que signifie la création d’une chorégraphie pour des matières, dans laquelle les mouvements humains ne sont plus essentiels?
Que se passe-t-il lorsque l’on fait appel à la puissance des matières et des objets, comme si ceux-ci imposaient cette puissance à l’homme?
Quel est le rapport entre le monde animé et le monde inanimé?

La réponse est une performance qui éparpille littéralement des objets; diverses matières volent en l'air, ce qui produit un paysage changeant sans cesse. Au fil de la performance, l'aspect change continuellement; un lieu calme, respirant la contemplation, évolue jusqu'à devenir un chaos bourré d'énergie dans lequel les objets sont projetés dans l'espace. Un raz de marée se transforme soudain en tempête de confettis traversant rageusement le plateau. Ce dernier est couvert de toutes sortes d'objets et matières brutes et...

Leentje Vandenbussche + PETER AERS, TIJS CEULEMANS

LIGHT MEDIUM STRONG

LIGHT

LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.

Ils ont traduit leurs expériences en trois spectacles, LIGHT, MEDIUM et STRONG, qui invitent le public au dialogue. Si l'accent est mis sur l'expérience intense dans l'un des spectacles et sur une analyse rationnelle dans un autre, ils expriment tous trois une grande curiosité et sont empreints d'une immense compassion. LIGHT est une confrontation à l'incapacité de partager un moment intense; le public en est le témoin muet. STRONG, en revanche, est une expérience dénuée de danger, mais qui ne s'oublie pas. MEDIUM oscille entre les...

Leentje Vandenbussche + PETER AERS, TIJS CEULEMANS

LIGHT MEDIUM STRONG

STRONG

LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.

Ils ont traduit leurs expériences en trois spectacles, LIGHT, MEDIUM et STRONG, qui invitent le public au dialogue. Si l'accent est mis sur l'expérience intense dans l'un des spectacles et sur une analyse rationnelle dans un autre, ils expriment tous trois une grande curiosité et sont empreints d'une immense compassion. LIGHT est une confrontation à l'incapacité de partager un moment intense; le public en est le témoin muet. STRONG, en revanche, est une expérience dénuée de danger, mais qui ne s'oublie pas. MEDIUM oscille entre les...

The Artificial Nature Project, une nouvelle rencontre entre interprètes humains et non humains, s’appuie sur les questions suivantes:
Que signifie la création d’une chorégraphie pour des matières, dans laquelle les mouvements humains ne sont plus essentiels?
Que se passe-t-il lorsque l’on fait appel à la puissance des matières et des objets, comme si ceux-ci imposaient cette puissance à l’homme?
Quel est le rapport entre le monde animé et le monde inanimé?

La réponse est une performance qui éparpille littéralement des objets; diverses matières volent en l'air, ce qui produit un paysage changeant sans cesse. Au fil de la performance, l'aspect change continuellement; un lieu calme, respirant la contemplation, évolue jusqu'à devenir un chaos bourré d'énergie dans lequel les objets sont projetés dans l'espace. Un raz de marée se transforme soudain en tempête de confettis traversant rageusement le plateau. Ce dernier est couvert de toutes sortes d'objets et matières brutes et...

Leentje Vandenbussche + PETER AERS, TIJS CEULEMANS

LIGHT MEDIUM STRONG

STRONG

LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.

Ils ont traduit leurs expériences en trois spectacles, LIGHT, MEDIUM et STRONG, qui invitent le public au dialogue. Si l'accent est mis sur l'expérience intense dans l'un des spectacles et sur une analyse rationnelle dans un autre, ils expriment tous trois une grande curiosité et sont empreints d'une immense compassion. LIGHT est une confrontation à l'incapacité de partager un moment intense; le public en est le témoin muet. STRONG, en revanche, est une expérience dénuée de danger, mais qui ne s'oublie pas. MEDIUM oscille entre les...

Welcome To the Jungle is a performance installation inspired by the potential implications of the ecological term ‘global weirding’.

Using a labyrinth of various mirror foils, Welcome To the Jungle proposes a 'house of mirrors' where the audience, inside of the space, has to navigate trying to find which way is which. Smells designed by perfumer Laurent-David Garnier, a set designed in collaboration with scenographer Erki De Vries, as well as water mists, temperature fluctuations, wind, and vibration applied to the frames of the mirror foils are used to create an immaterial yet nevertheless sensorial parcours for the audience. The costuming of audience and performers alike...

Manah Depauw + Cathy Weyders

La wallifornie

La Wallifornie est souvent décrite comme une terre difficile à atteindre, où les forêts abondent encore et où la bière s’écoule tout naturellement des robinets domestiques. Nombreux sont ceux qui pensent que le nom « Wallifornie » est un des dérivés de celui du paradis terrestre disparu dans les inondations. Billevesées !

La « Wallifornie ou Wallifornia » aurait un lien plus étroit avec les premiers réfugiés climatiques flandriens. C’est lorsque ces derniers térriblement affaiblis par la montée des eaux qui submergèrent leur région et furent accueillis par cette population qu’ils baptisèrent la région Wallifornia. Wali pour haut en référence à ces nombreuses petites collines et fornia pour fourneau en référence à la chaleur de ses habitants. La metteur en scène Manah Depauw et la plasticienne Cathy Weyders se sont associées afin...

The Artificial Nature Project, une nouvelle rencontre entre interprètes humains et non humains, s’appuie sur les questions suivantes:
Que signifie la création d’une chorégraphie pour des matières, dans laquelle les mouvements humains ne sont plus essentiels?
Que se passe-t-il lorsque l’on fait appel à la puissance des matières et des objets, comme si ceux-ci imposaient cette puissance à l’homme?
Quel est le rapport entre le monde animé et le monde inanimé?

La réponse est une performance qui éparpille littéralement des objets; diverses matières volent en l'air, ce qui produit un paysage changeant sans cesse. Au fil de la performance, l'aspect change continuellement; un lieu calme, respirant la contemplation, évolue jusqu'à devenir un chaos bourré d'énergie dans lequel les objets sont projetés dans l'espace. Un raz de marée se transforme soudain en tempête de confettis traversant rageusement le plateau. Ce dernier est couvert de toutes sortes d'objets et matières brutes et...

Leentje Vandenbussche + PETER AERS, TIJS CEULEMANS

LIGHT MEDIUM STRONG

LIGHT

LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.

Ils ont traduit leurs expériences en trois spectacles, LIGHT, MEDIUM et STRONG, qui invitent le public au dialogue. Si l'accent est mis sur l'expérience intense dans l'un des spectacles et sur une analyse rationnelle dans un autre, ils expriment tous trois une grande curiosité et sont empreints d'une immense compassion. LIGHT est une confrontation à l'incapacité de partager un moment intense; le public en est le témoin muet. STRONG, en revanche, est une expérience dénuée de danger, mais qui ne s'oublie pas. MEDIUM oscille entre les...

Welcome To the Jungle is a performance installation inspired by the potential implications of the ecological term ‘global weirding’.

Using a labyrinth of various mirror foils, Welcome To the Jungle proposes a 'house of mirrors' where the audience, inside of the space, has to navigate trying to find which way is which. Smells designed by perfumer Laurent-David Garnier, a set designed in collaboration with scenographer Erki De Vries, as well as water mists, temperature fluctuations, wind, and vibration applied to the frames of the mirror foils are used to create an immaterial yet nevertheless sensorial parcours for the audience. The costuming of audience and performers alike...

The Artificial Nature Project, une nouvelle rencontre entre interprètes humains et non humains, s’appuie sur les questions suivantes:
Que signifie la création d’une chorégraphie pour des matières, dans laquelle les mouvements humains ne sont plus essentiels?
Que se passe-t-il lorsque l’on fait appel à la puissance des matières et des objets, comme si ceux-ci imposaient cette puissance à l’homme?
Quel est le rapport entre le monde animé et le monde inanimé?

La réponse est une performance qui éparpille littéralement des objets; diverses matières volent en l'air, ce qui produit un paysage changeant sans cesse. Au fil de la performance, l'aspect change continuellement; un lieu calme, respirant la contemplation, évolue jusqu'à devenir un chaos bourré d'énergie dans lequel les objets sont projetés dans l'espace. Un raz de marée se transforme soudain en tempête de confettis traversant rageusement le plateau. Ce dernier est couvert de toutes sortes d'objets et matières brutes et...

LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.

Ils ont traduit leurs expériences en trois spectacles, LIGHT, MEDIUM et STRONG, qui invitent le public au dialogue. Si l'accent est mis sur l'expérience intense dans l'un des spectacles et sur une analyse rationnelle dans un autre, ils expriment tous trois une grande curiosité et sont empreints d'une immense compassion. LIGHT est une confrontation à l'incapacité de partager un moment intense; le public en est le témoin muet. STRONG, en revanche, est une expérience dénuée de danger, mais qui ne s'oublie pas. MEDIUM oscille entre les...

The Artificial Nature Project, une nouvelle rencontre entre interprètes humains et non humains, s’appuie sur les questions suivantes:
Que signifie la création d’une chorégraphie pour des matières, dans laquelle les mouvements humains ne sont plus essentiels?
Que se passe-t-il lorsque l’on fait appel à la puissance des matières et des objets, comme si ceux-ci imposaient cette puissance à l’homme?
Quel est le rapport entre le monde animé et le monde inanimé?

La réponse est une performance qui éparpille littéralement des objets; diverses matières volent en l'air, ce qui produit un paysage changeant sans cesse. Au fil de la performance, l'aspect change continuellement; un lieu calme, respirant la contemplation, évolue jusqu'à devenir un chaos bourré d'énergie dans lequel les objets sont projetés dans l'espace. Un raz de marée se transforme soudain en tempête de confettis traversant rageusement le plateau. Ce dernier est couvert de toutes sortes d'objets et matières brutes et...

Welcome To the Jungle is a performance installation inspired by the potential implications of the ecological term ‘global weirding’.

Using a labyrinth of various mirror foils, Welcome To the Jungle proposes a 'house of mirrors' where the audience, inside of the space, has to navigate trying to find which way is which. Smells designed by perfumer Laurent-David Garnier, a set designed in collaboration with scenographer Erki De Vries, as well as water mists, temperature fluctuations, wind, and vibration applied to the frames of the mirror foils are used to create an immaterial yet nevertheless sensorial parcours for the audience. The costuming of audience and performers alike...

Les œuvres de science-fiction nous font entrevoir une civilisation du futur en nous racontant les aventures de l’un de ses habitants.
Some use for your broken clay pots nous livre au contraire le code qui régit la vie de la société qui y est imaginée.

Le futur est appréhendé de façon inverse: c'est à nous de nous faire une image de ce qu'auraient l'air les aventures de nos propres vies si elles devaient se dérouler selon des règles totalement nouvelles. Développée en collaboration avec une équipe de spécialistes de plusieurs universités belges, Some use for your broken clay pots est une pièce de théâtre dont le scénario est le texte constitutionnel d'un État démocratique qui n'existe pas encore....

La Wallifornie est souvent décrite comme une terre difficile à atteindre, où les forêts abondent encore et où la bière s’écoule tout naturellement des robinets domestiques. Nombreux sont ceux qui pensent que le nom « Wallifornie » est un des dérivés de celui du paradis terrestre disparu dans les inondations. Billevesées !

La « Wallifornie ou Wallifornia » aurait un lien plus étroit avec les premiers réfugiés climatiques flandriens. C’est lorsque ces derniers térriblement affaiblis par la montée des eaux qui submergèrent leur région et furent accueillis par cette population qu’ils baptisèrent la région Wallifornia. Wali pour haut en référence à ces nombreuses petites collines et fornia pour fourneau en référence à la chaleur de ses habitants. La metteur en scène Manah Depauw et la plasticienne Cathy Weyders se sont associées afin...