Why Me? est une œuvre visuelle d’ensemble de Bernard Van Eeghem. Cet ensemble est pris dans une trame hippodamique: l’axe avec les disciplines les plus variées en horizontal, et en vertical, l’axe temporel, depuis avant la naissance jusqu’après la mort.
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Pourquoi les communautés éprouvent-elles le besoin de mettre leur peur en scène? N’invoqueraient-elles les forces occultes que pour mieux pouvoir les expulser ? Depauw est fascinée par l’équilibre fragile entre la folie et la possession, la simulation et le jeu. Dans sa quête d’un éden primordial, elle puise dans la mythologie, le carnaval et le folklore, sources d’inspiration inépuisables pour les masques, les costumes et l’iconographie qui traversent sa nouvelle création. Elle conçoit son Eden Central comme une jungle profonde, un univers de science-fiction où les êtres tentent de s’extraire de la sauvagerie pour accéder à la civilisation. Pour devenir, finalement, des hommes…
Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».
Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.
Pour leur nouvelle production de théâtre ‘Kayak’, les performeurs-complices Bernard Van Eeghem, Catherine Graindorge et Katja Dreyer se retrouvent pour la première fois à trois. ‘
Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.
Welcome To the Jungle is a performance installation inspired by the potential implications of the ecological term ‘global weirding’.
Imbriqués dans l’installation Diggin’ Up 2 [Digital light/Absorption], les corps et leur présence offrent une perception inversée: au lieu de réfléchir la lumière, ils l’absorbent.
Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.
Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.
Pour leur nouvelle production de théâtre ‘Kayak’, les performeurs-complices Bernard Van Eeghem, Catherine Graindorge et Katja Dreyer se retrouvent pour la première fois à trois. ‘
Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.
Let’s get physical se veut un prolongement de Manteau long…, pièce précédente du collectif Delgado Fuchs.
Les deux artistes poursuivent leurs recherches autour de leurs fascinations communes; celle de l’apprêt du corps (déshabillage, travestissement, installation) et celle de la pratique de la culture physique, en ce qu’elle permet de repousser les limites du corps et de le transformer potentiellement à l’infini. « Mais qu’est-ce que c’est ce corps ? » Let’s get physical verra aussi une vingtaine de personnes investir le plateau avec les Delgado Fuchs.
Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.
Elle est à là maison. Seule. A l’extérieur, le monde fonce. A l’intérieur, tout est tranquille.
Elle pense qu’elle est inaperçue. A cette place, à cette heure, pendant sa routine quotidienne, ses phantasmes les plus folles, ses désirs les plus intenses, ses peurs les plus profondes deviennent plus grand. Le temps passe.
Portrait, le milieu d’un histoire inconnu. Un portrait désolé. Une nature morte trompeuse.
En Décembre 2010 Ernst Maréchal a réalisé Blue Key Identity pour le Spoken World Festival du Kaaitheater. Blue Key Identity était un prolongement des projets social-artistiques: ‘De Tafelkeuken’ et ‘Made in Belgium’. Deux projets remarqués avec la collaboration de Globe Aroma et les demandeurs d’asile du Petit Château.
Let’s get physical se veut un prolongement de Manteau long…, pièce précédente du collectif Delgado Fuchs.
Les deux artistes poursuivent leurs recherches autour de leurs fascinations communes; celle de l’apprêt du corps (déshabillage, travestissement, installation) et celle de la pratique de la culture physique, en ce qu’elle permet de repousser les limites du corps et de le transformer potentiellement à l’infini. « Mais qu’est-ce que c’est ce corps ? » Let’s get physical verra aussi une vingtaine de personnes investir le plateau avec les Delgado Fuchs.
Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **
“Yes, and I personally met the devil at least three times face to face.”
Au centre de cette performance musicale se trouve une machine qui, apparemment, produit des expériences de mort imminente et une chanteuse Roumaine qui pense se trouver entre la vie et la mort. Trois personnages sinistres la regardent. Ils sont comme son ombre, son guide, la personnification de ses démons, comme les opérateurs de la machine à expériences extatiques. Ce qui en réalité se passe en un centième de seconde, dure pour elle une éternité. Le caractère répétitif de son expérience semble faire de chaque fin possible un retour vers le début. Elle passe au travers de différents états, de la dévotion, au désespoir, de l’obsession totale à l’extase.
War of Fictions est une performance composée comme une série de paysages, principalement produite par la présence de deux interprètes peuplant des espaces fictifs et imaginaires. Les interprètes investissent physiquement, et par des postures extrêmes, des sensations, des actions exécutées dans la durée, et qui impliquent d’autres façons de toucher à l’espace environnant, au temps, à la gravité, aux images et au comportement social.
Seven adults, three children, a layer that floats above the floor, a bunch of hands that float above a woman, shadows of a woman on the floor, a broken man against the wall and a spine. Artificial air floats in a tank and there’s a black circle.
This work talks about death (black) and live (circular air). The life as an element in an abstract construction (square as an ultimate cultivation), the stratification (platform), the horizontal and vertical thinking, about the intuitive truth (shadows), mystical heights (triangle) of the inner sight without opening the eyes as an external sense (title).
The installation is 15m on 10m, and 5m high.
Le silence des danses, se compose de trois performances qu’elle montre dans trois espaces différents des Kaaistudio’s.
Avec Le silence des danses, Merlin Spie s’engage sur une nouvelle voie. Elle quitte le domaine de la plastique pure et veut amorcer une mise en regard avec d’autres médias : images numériques, paysages sonores, textes, danse, etc. Ce choix l’entraîne dans une organisation de travail différente, qui implique des collaborations avec des artistes actifs dans ces disciplines diverses. Qui plus est, Merlin Spie était jusqu’à présent la principale, et souvent l’unique, interprète de ses performances.
Dans les deux premières parties du Silence des danses, elle intervient en tant que metteure en scène-sculpteure des autres performeurs. Dans la troisième partie, elle est présente en personne. Cette nouvelle phase dans l’évolution de son œuvre signifie avant tout un nouveau pas dans sa quête de l’abstraction et de la pureté et une transition des images figées, immobiles et respirantes à des images en mouvement.
Le silence des danses embrasse l’abstraction et donne libre cours aux mouvements, sans perdre l’intuition.
Let’s get physical se veut un prolongement de Manteau long…, pièce précédente du collectif Delgado Fuchs.
Les deux artistes poursuivent leurs recherches autour de leurs fascinations communes; celle de l’apprêt du corps (déshabillage, travestissement, installation) et celle de la pratique de la culture physique, en ce qu’elle permet de repousser les limites du corps et de le transformer potentiellement à l’infini. « Mais qu’est-ce que c’est ce corps ? » Let’s get physical verra aussi une vingtaine de personnes investir le plateau avec les Delgado Fuchs.
« When I travel through my room, I rarely follow a straight line, I go from the table towards a picture hanging in a corner, from there I only want to encounter the door, when I begin it is always my intention to get there, but then I meet my armchair en route and I don’t think twice and settle down in it without further ado » Xavier De Maistre, Voyage autour de ma chambre
Faire un Four est une expression datant du 17ième siècle, venue du monde du théâtre, qui signifie «subir un échec complet». Mais on peut aussi prononcer «Four» à l’anglaise pour dire « quatre», et alors on obtient « un quatuor».
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
Manteau Long en laine marine porté sur un pull à encolure détendue avec un pantalon peau de pêche et des chaussures pointues en nubuck rouge. « Manteau long… » dissèque les processus de mise en scène et révèle ce qui d’ordinaire n’est pas explicitement montré : cette quantité d’actions, de gestes et d’attitudes qui accompagnent et conditionnent parfois l’acte de danse. Fondamentalement dépendante de ce rapport direct avec un public-témoin, la pièce est l’occasion d’une énumération tour à tour sérieuse et enjouée de ce que fait ou sait faire un danseur et des contraintes qui sont propres à son mode d’expression.
Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **
Endless Medication est un petit théâtre de variété coloré de musique nostalgique
a l’accordéon, un monde qui vacille entre délire et réalité, entre extase et blasphème. C’est l’univers fou de deux femmes en recherche de leur propre langue, leurs propres hallucinations et leur propre réalité.
Monique puise son inspiration dans le bondage, transformant sa pratique en instructions chorégraphiques. Comment pervertir un acte « pervert »?
Pieter De Buysser + Hans Op de Beeck
Book Burning
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **
Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **
Le cortège de monstres maniaques viennent couronner leur reine et brûler la sorcière. Une bande de gros motards à vestes de cuir à franges et casques de vikings essayent de sauver la vierge et l’innocente, y parviendront-ils? Et avec un peu de chance dans tout ce bordel, un cœur d’enfant spectral viendra nous chanter des mélopées sinistres, qu’il vaudrai mieux oublier avant de s’endormir.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
Bernard Van Eeghem est créateur de théâtre, artiste plasticien, auteur. Dans Sanglier toutes ses disciplines se fondent plus que jamais.
** nominé pour meilleur spectacle pour le « prix de la critique 2012 » **
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
War of Fictions est une performance composée comme une série de paysages, principalement produite par la présence de deux interprètes peuplant des espaces fictifs et imaginaires. Les interprètes investissent physiquement, et par des postures extrêmes, des sensations, des actions exécutées dans la durée, et qui impliquent d’autres façons de toucher à l’espace environnant, au temps, à la gravité, aux images et au comportement social.
War of Fictions est une performance composée comme une série de paysages, principalement produite par la présence de deux interprètes peuplant des espaces fictifs et imaginaires. Les interprètes investissent physiquement, et par des postures extrêmes, des sensations, des actions exécutées dans la durée, et qui impliquent d’autres façons de toucher à l’espace environnant, au temps, à la gravité, aux images et au comportement social.
War of Fictions est une performance composée comme une série de paysages, principalement produite par la présence de deux interprètes peuplant des espaces fictifs et imaginaires. Les interprètes investissent physiquement, et par des postures extrêmes, des sensations, des actions exécutées dans la durée, et qui impliquent d’autres façons de toucher à l’espace environnant, au temps, à la gravité, aux images et au comportement social.
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
L’Histoire est sans horizon. Il n’y a plus de révolutions possibles. Qu’y-a-t’il encore à ajouter? Une pièce qui nous parle de l’oubli et du pardon, de la connaissance du manque d’histoires.
La Wallifornie est souvent décrite comme une terre difficile à atteindre, où les forêts abondent encore et où la bière s’écoule tout naturellement des robinets domestiques. Nombreux sont ceux qui pensent que le nom « Wallifornie » est un des dérivés de celui du paradis terrestre disparu dans les inondations. Billevesées !
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
The Artificial Nature Project, une nouvelle rencontre entre interprètes humains et non humains, s’appuie sur les questions suivantes:
Que signifie la création d’une chorégraphie pour des matières, dans laquelle les mouvements humains ne sont plus essentiels?
Que se passe-t-il lorsque l’on fait appel à la puissance des matières et des objets, comme si ceux-ci imposaient cette puissance à l’homme?
Quel est le rapport entre le monde animé et le monde inanimé?
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
The Artificial Nature Project, une nouvelle rencontre entre interprètes humains et non humains, s’appuie sur les questions suivantes:
Que signifie la création d’une chorégraphie pour des matières, dans laquelle les mouvements humains ne sont plus essentiels?
Que se passe-t-il lorsque l’on fait appel à la puissance des matières et des objets, comme si ceux-ci imposaient cette puissance à l’homme?
Quel est le rapport entre le monde animé et le monde inanimé?
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
Welcome To the Jungle is a performance installation inspired by the potential implications of the ecological term ‘global weirding’.
La Wallifornie est souvent décrite comme une terre difficile à atteindre, où les forêts abondent encore et où la bière s’écoule tout naturellement des robinets domestiques. Nombreux sont ceux qui pensent que le nom « Wallifornie » est un des dérivés de celui du paradis terrestre disparu dans les inondations. Billevesées !
The Artificial Nature Project, une nouvelle rencontre entre interprètes humains et non humains, s’appuie sur les questions suivantes:
Que signifie la création d’une chorégraphie pour des matières, dans laquelle les mouvements humains ne sont plus essentiels?
Que se passe-t-il lorsque l’on fait appel à la puissance des matières et des objets, comme si ceux-ci imposaient cette puissance à l’homme?
Quel est le rapport entre le monde animé et le monde inanimé?
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
Welcome To the Jungle is a performance installation inspired by the potential implications of the ecological term ‘global weirding’.
The Artificial Nature Project, une nouvelle rencontre entre interprètes humains et non humains, s’appuie sur les questions suivantes:
Que signifie la création d’une chorégraphie pour des matières, dans laquelle les mouvements humains ne sont plus essentiels?
Que se passe-t-il lorsque l’on fait appel à la puissance des matières et des objets, comme si ceux-ci imposaient cette puissance à l’homme?
Quel est le rapport entre le monde animé et le monde inanimé?
LIGHT, MEDIUM et STRONG sont des
spectacles complémentaires, mais autonomes, à propos de la mort. Ils
s’inscrivent dans le trajet X / Un exercice de disparition (X / Een
oefening in verdwijnen), une exploration intensive du décès dans la
littérature, la science et l’expérience. Ce trajet a mené ses créateurs –
Leentje Vandenbussche, Peter Aers et Tijs Ceulemans – entre autres vers
le secteur des soins palliatifs, dans un lieu en Inde où sont
pratiquées des incinérations et vers le lit de mort d’une malade en
phase terminale.
The Artificial Nature Project, une nouvelle rencontre entre interprètes humains et non humains, s’appuie sur les questions suivantes:
Que signifie la création d’une chorégraphie pour des matières, dans laquelle les mouvements humains ne sont plus essentiels?
Que se passe-t-il lorsque l’on fait appel à la puissance des matières et des objets, comme si ceux-ci imposaient cette puissance à l’homme?
Quel est le rapport entre le monde animé et le monde inanimé?
Welcome To the Jungle is a performance installation inspired by the potential implications of the ecological term ‘global weirding’.
Les œuvres de science-fiction nous font entrevoir une civilisation du futur en nous racontant les aventures de l’un de ses habitants.
Some use for your broken clay pots nous livre au contraire le code qui régit la vie de la société qui y est imaginée.
La Wallifornie est souvent décrite comme une terre difficile à atteindre, où les forêts abondent encore et où la bière s’écoule tout naturellement des robinets domestiques. Nombreux sont ceux qui pensent que le nom « Wallifornie » est un des dérivés de celui du paradis terrestre disparu dans les inondations. Billevesées !