Basically est un projet live en continu. Il transforme l’espace d’exposition en un lieu hybride, à la fois espace de production et terrain de jeu, où la pratique et la performance se rejoignent. Basically se présente comme un jeu chorégraphique dans lequel quatre artistes maintiennent des règles fixes, tout en intégrant les visiteurs de manière visible et invisible. Ce travail est guidé à la fois par des règles formelles et par les interprétations subjectives qui émergent des interactions entre les artistes et les visiteurs. La création
Agenda
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I like to think (and
the sooner the better!)
of a cybernetic meadow
where mammals and computers
live together in mutually
programming harmony
like pure water
touching clear sky.
I like to think
(right now please!)
of a cybernetic forest
filled with pines and electronics
where deer stroll peacefully
past computers
as if they were flowers
with spinning blossoms.
I like to think
(it has to be!)
of a cybernetic ecology
where we are free of our labors
and joined back to nature,
returned to our mammal
brothers and sisters,
and all watched over
by machines of loving grace.
(Richard Brautigan)
La représentation
Maria Lucia Cruz Correia
STILL HERE – une alliance de soin pour la rivière Senne
Zenne School
Depuis 2023, Natural Contract Lab (NCL) pratique le walking-with — une démarche immersive de marche en lien avec un milieu et ses habitants — aux côtés de la rivière Senne et des communautés qui lui sont apparentées : êtres humains, libellules, saules, moineaux, pluie, renouée, orties… visibles ou invisibles. De sa source, nichée sous un saule à Naast, jusqu’à sa confluence, où la rivière se divise en plusieurs cours d’eau.
STILL HERE est un processus éphémère qui cherche à recalibrer notre sensibilité envers la Senne et ses
The River and The Devil invite le public à pénétrer dans les ruines d’une rivière en voie de disparition.
On raconte que pendant l’époque coloniale, sur l’Altiplano bolivien, le fleuve Desaguadero et sa nature incontrôlable furent diabolisés par les colons comme « le Diable ». Depuis lors, le fleuve s’est asséché, se transformant de l’eau au sel après des siècles d’extraction continue. En réimaginant le Diable non pas comme une force destructrice mais comme le gardien du fleuve, The River and the Devil explore la résilience et les vestiges d’histoires fragmentées. Le fleuve s’est brisé en morceaux, se dissimulant et s’approchant de
Le mot MOLD désigne deux choses différentes: une moisissure, un type de champignon, et aussi un moule, un récipient creux dans lequel on introduit une matière qui en durcissant prend la forme du récipient par empreinte. Dans le cas d’une moisissure, il s’agit d’un réseau mycélien qui se développe de manière imprévisible: connexion, colonisation, infection, digestion, fructification et production de spores. Lorsque l’on fait référence au moule, il s’agit d’une matrice, une forme qui permet de modeler des matières. MOLD souhaite mettre en scène cette opposition entre prolifération spontanée et moulage, entre deux logiques différentes dans un même corps.
Inspiré de diverses pratiques (mycologie, mode, fermentation, danse et sculpture), MOLD aborde la machine théâtrale comme une multitude de corps. Nous aimerions qu’en plus d’être un spectacle, MOLD soit également une ferme. Un environnement où la danse, les objets, le public, la lumière, la musique, les parfums et les costumes interagissent en tant que cultures vivantes. Un jardin dédié à la culture, l’abandon, l’inoculation, le tressage, la duplication, la germination, le réchauffement et la décomposition.
Regardez une interview vidéo de Sara
Y a-t-il quelque chose que tu veux dire ou écrire
mais tu ne trouves pas les mots ?
Alors, passe chez service de mots.
La fournisseuse de mots te prêtera une oreille attentive. Le service de mots t’aidera volontiers à résoudre les problèmes de tête, de cœur et d’âme pour lesquels tu as besoin de mots. La communication y est précieuse. Des écrits divers sont créés avec soin et précision, en concertation, dans un cadre discret et poétique. service de mots peut se rendre chaque semaine dans un lieu fixe de la ville, pendant plusieurs mois. Le service est gratuit et accessible au public, avec ou sans
[slurring]
“… you going… b-back alon’????? Thr… not!!! . by the banana planntations????!”
[voices bending, twisting]
“Ahh
hhAH HAHAHA jn ht… Maxhete!… cau-s !
m- Maxhete!”
kjjdn kol? .. .?
mmm…
¡¿¿¿¿MAXHETE!
The name hung in the air like smoke.
I ccan’t even stand straigght. leakkking. Piss, beeer, old sweat ..– People were howwlin g. can’t even stand straight,, soaked in my worse decisionz. —shirt half-open, eyes glassy, puke crusted on my chin. The bouncer… already thrown me offf like trash..
[music distorting] hit the paavement hard, limbs ss like a broken dolll. The air thick with heat and hummiliation.. … .
¡¡¡¡that’s the moment when Maxhete takes advantage!
Ask the wrong tree in those swamps, you
Y a-t-il quelque chose que tu veux dire ou écrire
mais tu ne trouves pas les mots ?
Alors, passe chez service de mots.
La fournisseuse de mots te prêtera une oreille attentive. Le service de mots t’aidera volontiers à résoudre les problèmes de tête, de cœur et d’âme pour lesquels tu as besoin de mots. La communication y est précieuse. Des écrits divers sont créés avec soin et précision, en concertation, dans un cadre discret et poétique. service de mots peut se rendre chaque semaine dans un lieu fixe de la ville, pendant plusieurs mois. Le service est gratuit et accessible au public, avec ou sans
Basically est un projet live en continu. Il transforme l’espace d’exposition en un lieu hybride, à la fois espace de production et terrain de jeu, où la pratique et la performance se rejoignent. Basically se présente comme un jeu chorégraphique dans lequel quatre artistes maintiennent des règles fixes, tout en intégrant les visiteurs de manière visible et invisible. Ce travail est guidé à la fois par des règles formelles et par les interprétations subjectives qui émergent des interactions entre les artistes et les visiteurs. La création
Spine Of Desire : Wounds without tears, out of one skin in diamonds and shit est une représentation intime, qui s’appuie sur des histoires individuelles et collectives, dans le but de créer une expérience qui fait intervenir des éléments sonores, visuels, spatiaux et chorégraphiques.
La dernière œuvre de Stanley Ollivier prend comme point de départ le pouvoir de construction communautaire des espaces d’appartenance des PANDC, afin de reformuler les approches chorégraphiques familières. Accompagné des artistes tels que Lily Brieu Nguyen et Mamadou Wagué, le collectif explore la réalité quotidienne, ainsi que les changements sociaux à travers un langage chorégraphique, lequel reflète les interrelations entre l’intime et le corps, en vue de créer un espace gardé et sécurisé.
Maria Lucia Cruz Correia
STILL HERE – une alliance de soin pour la rivière Senne
WALKING WITH 4
Depuis 2023, Natural Contract Lab (NCL) pratique le walking-with — une démarche immersive de marche en lien avec un milieu et ses habitants — aux côtés de la rivière Senne et des communautés qui lui sont apparentées : êtres humains, libellules, saules, moineaux, pluie, renouée, orties… visibles ou invisibles. De sa source, nichée sous un saule à Naast, jusqu’à sa confluence, où la rivière se divise en plusieurs cours d’eau.
STILL HERE est un processus éphémère qui cherche à recalibrer notre sensibilité envers la Senne et ses
The River and The Devil invite le public à pénétrer dans les ruines d’une rivière en voie de disparition.
On raconte que pendant l’époque coloniale, sur l’Altiplano bolivien, le fleuve Desaguadero et sa nature incontrôlable furent diabolisés par les colons comme « le Diable ». Depuis lors, le fleuve s’est asséché, se transformant de l’eau au sel après des siècles d’extraction continue. En réimaginant le Diable non pas comme une force destructrice mais comme le gardien du fleuve, The River and the Devil explore la résilience et les vestiges d’histoires fragmentées. Le fleuve s’est brisé en morceaux, se dissimulant et s’approchant de
Y a-t-il quelque chose que tu veux dire ou écrire
mais tu ne trouves pas les mots ?
Alors, passe chez service de mots.
La fournisseuse de mots te prêtera une oreille attentive. Le service de mots t’aidera volontiers à résoudre les problèmes de tête, de cœur et d’âme pour lesquels tu as besoin de mots. La communication y est précieuse. Des écrits divers sont créés avec soin et précision, en concertation, dans un cadre discret et poétique. service de mots peut se rendre chaque semaine dans un lieu fixe de la ville, pendant plusieurs mois. Le service est gratuit et accessible au public, avec ou sans
The River and The Devil invite le public à pénétrer dans les ruines d’une rivière en voie de disparition.
On raconte que pendant l’époque coloniale, sur l’Altiplano bolivien, le fleuve Desaguadero et sa nature incontrôlable furent diabolisés par les colons comme « le Diable ». Depuis lors, le fleuve s’est asséché, se transformant de l’eau au sel après des siècles d’extraction continue. En réimaginant le Diable non pas comme une force destructrice mais comme le gardien du fleuve, The River and the Devil explore la résilience et les vestiges d’histoires fragmentées. Le fleuve s’est brisé en morceaux, se dissimulant et s’approchant de
In this new work, Carolina Mendonça continues her investigation into violence — not in its immediate explosion, but in its afterlife. Something is Approaching looks beyond the moment of the violent act to trace its long-term effects: the way violence settles into muscle, shapes attention, distorts imagination. If Zones of Resplendence imagined an army rising against sexual violence, this new piece lingers with what violence implants in us: tension, rumination, a sort of damnation, a muscular readiness.
What if our muscles are not only sites of trauma, but also of resistance? What if they have been rehearsing — quietly, daily — for the moment of return? For the moment to fight back?What type of stories are stuck to our tissues that could be released by a single jolt, a sudden movement — a bullet?
This is a choreography of muscular dreams. Bodies that once froze begin to stir — charged by years of imagined confrontations. Ghostly bodies find a space where their haunting can pause. Dreaming becomes a kind
a pulse with no body a sun with no sky est la nouvelle installation théâtrale d’Ezra Veldhuis & Bosse Provoost. Comme dans leurs précédents projets, SUN-SET (2020), Indoor Weather (2021) et All Watched Over by Machines of Loving Grace (2023), ils construisent un univers avec sa propre cosmologie, fait de lumière, de son et de scénographie.
Dans a pulse with no body a sun with no sky, Bosse et Ezra invitent les spectateurs à se libérer de leurs habitudes de vision et de pensée pour se laisser surprendre par des connexions et des affinités inattendues entre des éclats de lumière, des bribes de sons, des corps et des dispositifs. Le public s’installe sur scène, sous une arche lumineuse. Une voix s’élève, spéculant sur les capacités sensorielles et les rêves des animaux, des éponges aux rats. Car malgré nos différences,
Maria Lucia Cruz Correia
STILL HERE – une alliance de soin pour la rivière Senne
WALKING WITH 4
Depuis 2023, Natural Contract Lab (NCL) pratique le walking-with — une démarche immersive de marche en lien avec un milieu et ses habitants — aux côtés de la rivière Senne et des communautés qui lui sont apparentées : êtres humains, libellules, saules, moineaux, pluie, renouée, orties… visibles ou invisibles. De sa source, nichée sous un saule à Naast, jusqu’à sa confluence, où la rivière se divise en plusieurs cours d’eau.
STILL HERE est un processus éphémère qui cherche à recalibrer notre sensibilité envers la Senne et ses
Maria Lucia Cruz Correia
STILL HERE – une alliance de soin pour la rivière Senne
WALKING WITH 4
Depuis 2023, Natural Contract Lab (NCL) pratique le walking-with — une démarche immersive de marche en lien avec un milieu et ses habitants — aux côtés de la rivière Senne et des communautés qui lui sont apparentées : êtres humains, libellules, saules, moineaux, pluie, renouée, orties… visibles ou invisibles. De sa source, nichée sous un saule à Naast, jusqu’à sa confluence, où la rivière se divise en plusieurs cours d’eau.
STILL HERE est un processus éphémère qui cherche à recalibrer notre sensibilité envers la Senne et ses
In this new work, Carolina Mendonça continues her investigation into violence — not in its immediate explosion, but in its afterlife. Something is Approaching looks beyond the moment of the violent act to trace its long-term effects: the way violence settles into muscle, shapes attention, distorts imagination. If Zones of Resplendence imagined an army rising against sexual violence, this new piece lingers with what violence implants in us: tension, rumination, a sort of damnation, a muscular readiness.
What if our muscles are not only sites of trauma, but also of resistance? What if they have been rehearsing — quietly, daily — for the moment of return? For the moment to fight back?What type of stories are stuck to our tissues that could be released by a single jolt, a sudden movement — a bullet?
This is a choreography of muscular dreams. Bodies that once froze begin to stir — charged by years of imagined confrontations. Ghostly bodies find a space where their haunting can pause. Dreaming becomes a kind
The River and The Devil invite le public à pénétrer dans les ruines d’une rivière en voie de disparition.
On raconte que pendant l’époque coloniale, sur l’Altiplano bolivien, le fleuve Desaguadero et sa nature incontrôlable furent diabolisés par les colons comme « le Diable ». Depuis lors, le fleuve s’est asséché, se transformant de l’eau au sel après des siècles d’extraction continue. En réimaginant le Diable non pas comme une force destructrice mais comme le gardien du fleuve, The River and the Devil explore la résilience et les vestiges d’histoires fragmentées. Le fleuve s’est brisé en morceaux, se dissimulant et s’approchant de
Basically est un projet live en continu. Il transforme l’espace d’exposition en un lieu hybride, à la fois espace de production et terrain de jeu, où la pratique et la performance se rejoignent. Basically se présente comme un jeu chorégraphique dans lequel quatre artistes maintiennent des règles fixes, tout en intégrant les visiteurs de manière visible et invisible. Ce travail est guidé à la fois par des règles formelles et par les interprétations subjectives qui émergent des interactions entre les artistes et les visiteurs. La création
Imaginez, un univers de science-fiction inspiré par le reggaeton, la danse urbaine perreo, l’expérience linguistique de la vie quotidienne avec une compréhension approximative de l’anglais, et le lien historique entre l’Amérique centrale et l’exportation de fruits exotiques.
Tel est le monde invoqué par « Flesh can’t can’ t not’t ’tis flesh h…. » une performance multisensorielle où se côtoient musique live, projection de textes, danse et sculpture. Deux corps enflammés nous guident à travers les paysages d’un monde étranger, pour retracer les migrations douces-amères entre Sud et Nord, ainsi qu’une partie de l’Histoire dans les régions d’Amérique centrale.
Pour écouter la playlist de Mario, cliquez ici.
Maria Lucia Cruz Correia
STILL HERE – une alliance de soin pour la rivière Senne
WALKING-WITH 1 en collab avec WIELS
Depuis 2023, Natural Contract Lab (NCL) pratique le walking-with — une démarche immersive de marche en lien avec un milieu et ses habitants — aux côtés de la rivière Senne et des communautés qui lui sont apparentées : êtres humains, libellules, saules, moineaux, pluie, renouée, orties… visibles ou invisibles. De sa source, nichée sous un saule à Naast, jusqu’à sa confluence, où la rivière se divise en plusieurs cours d’eau.
STILL HERE est un processus éphémère qui cherche à recalibrer notre sensibilité envers la Senne et ses
In this new work, Carolina Mendonça continues her investigation into violence — not in its immediate explosion, but in its afterlife. Something is Approaching looks beyond the moment of the violent act to trace its long-term effects: the way violence settles into muscle, shapes attention, distorts imagination. If Zones of Resplendence imagined an army rising against sexual violence, this new piece lingers with what violence implants in us: tension, rumination, a sort of damnation, a muscular readiness.
What if our muscles are not only sites of trauma, but also of resistance? What if they have been rehearsing — quietly, daily — for the moment of return? For the moment to fight back?What type of stories are stuck to our tissues that could be released by a single jolt, a sudden movement — a bullet?
This is a choreography of muscular dreams. Bodies that once froze begin to stir — charged by years of imagined confrontations. Ghostly bodies find a space where their haunting can pause. Dreaming becomes a kind
Ezra Veldhuis & Bosse Provoost
a pulse with no body a sun with no sky
Beyond the black box festival
try-out
a pulse with no body a sun with no sky est la nouvelle installation théâtrale d’Ezra Veldhuis & Bosse Provoost. Comme dans leurs précédents projets, SUN-SET (2020), Indoor Weather (2021) et All Watched Over by Machines of Loving Grace (2023), ils construisent un univers avec sa propre cosmologie, fait de lumière, de son et de scénographie.
Dans a pulse with no body a sun with no sky, Bosse et Ezra invitent les spectateurs à se libérer de leurs habitudes de vision et de pensée pour se laisser surprendre par des connexions et des affinités inattendues entre des éclats de lumière, des bribes de sons, des corps et des dispositifs. Le public s’installe sur scène, sous une arche lumineuse. Une voix s’élève, spéculant sur les capacités sensorielles et les rêves des animaux, des éponges aux rats. Car malgré nos différences,
Maria Lucia Cruz Correia
STILL HERE – une alliance de soin pour la rivière Senne
CONFLUENCE
Depuis 2023, Natural Contract Lab (NCL) pratique le walking-with — une démarche immersive de marche en lien avec un milieu et ses habitants — aux côtés de la rivière Senne et des communautés qui lui sont apparentées : êtres humains, libellules, saules, moineaux, pluie, renouée, orties… visibles ou invisibles. De sa source, nichée sous un saule à Naast, jusqu’à sa confluence, où la rivière se divise en plusieurs cours d’eau.
STILL HERE est un processus éphémère qui cherche à recalibrer notre sensibilité envers la Senne et ses
[slurring]
“… you going… b-back alon’????? Thr… not!!! . by the banana planntations????!”
[voices bending, twisting]
“Ahh
hhAH HAHAHA jn ht… Maxhete!… cau-s !
m- Maxhete!”
kjjdn kol? .. .?
mmm…
¡¿¿¿¿MAXHETE!
The name hung in the air like smoke.
I ccan’t even stand straigght. leakkking. Piss, beeer, old sweat ..– People were howwlin g. can’t even stand straight,, soaked in my worse decisionz. —shirt half-open, eyes glassy, puke crusted on my chin. The bouncer… already thrown me offf like trash..
[music distorting] hit the paavement hard, limbs ss like a broken dolll. The air thick with heat and hummiliation.. … .
¡¡¡¡that’s the moment when Maxhete takes advantage!
Ask the wrong tree in those swamps, you
Imaginez, un univers de science-fiction inspiré par le reggaeton, la danse urbaine perreo, l’expérience linguistique de la vie quotidienne avec une compréhension approximative de l’anglais, et le lien historique entre l’Amérique centrale et l’exportation de fruits exotiques.
Tel est le monde invoqué par « Flesh can’t can’ t not’t ’tis flesh h…. » une performance multisensorielle où se côtoient musique live, projection de textes, danse et sculpture. Deux corps enflammés nous guident à travers les paysages d’un monde étranger, pour retracer les migrations douces-amères entre Sud et Nord, ainsi qu’une partie de l’Histoire dans les régions d’Amérique centrale.
Pour écouter la playlist de Mario, cliquez ici.
Lecture-performance (60 min, Anglais)
Sarah Vanhee s’intéresse depuis de nombreuses années aux cris. Le cri est un acte immédiat, affectif, qui témoigne à la fois de la puissance la plus forte et de la vulnérabilité la plus profonde.
Elle n’a trouvé que peu ou pas de travaux existants (universitaires, artistiques ou autres) qui se consacrent entièrement au cri en tant que phénomène. Elle a pensé qu’il serait intéressant de rassembler certains cris au sein d’une anthologie, une collection de cris exprimés et non exprimés, en réfléchissant à la manière dont
Une immersion dans les fissures, l’improductif et le suprasensible du sous-sol Bruxellois: une rencontre autour de l’eau, de l’érotisme et du (non) contrôlé.
La deuxième édition de Swamp Sacrifices se concentre sur l’eau et l’érotisme (hydro-érotisme), ainsi que sur les espaces (non) contrôlés comme contrepoids à la manière stricte dont le sol Bruxellois est traité.
L’érotisme est ici compris comme le partage d’une joie profonde – physique, émotionnelle, psychique ou intellectuelle. Swamp Sacrifices explore les liens entre l’eau, l’érotisme et le spirituel. En s’affranchissant des
[slurring]
“… you going… b-back alon’????? Thr… not!!! . by the banana planntations????!”
[voices bending, twisting]
“Ahh
hhAH HAHAHA jn ht… Maxhete!… cau-s !
m- Maxhete!”
kjjdn kol? .. .?
mmm…
¡¿¿¿¿MAXHETE!
The name hung in the air like smoke.
I ccan’t even stand straigght. leakkking. Piss, beeer, old sweat ..– People were howwlin g. can’t even stand straight,, soaked in my worse decisionz. —shirt half-open, eyes glassy, puke crusted on my chin. The bouncer… already thrown me offf like trash..
[music distorting] hit the paavement hard, limbs ss like a broken dolll. The air thick with heat and hummiliation.. … .
¡¡¡¡that’s the moment when Maxhete takes advantage!
Ask the wrong tree in those swamps, you
Une immersion dans les fissures, l’improductif et le suprasensible du sous-sol Bruxellois: une rencontre autour de l’eau, de l’érotisme et du (non) contrôlé.
La deuxième édition de Swamp Sacrifices se concentre sur l’eau et l’érotisme (hydro-érotisme), ainsi que sur les espaces (non) contrôlés comme contrepoids à la manière stricte dont le sol Bruxellois est traité.
L’érotisme est ici compris comme le partage d’une joie profonde – physique, émotionnelle, psychique ou intellectuelle. Swamp Sacrifices explore les liens entre l’eau, l’érotisme et le spirituel. En s’affranchissant des
Lors de leur prochain spectacle, Stéphanie Kayal et Abed Kobeissy revisitent leur duo de justiciers déchus de leur œuvre récente Galactic Crush. Après avoir complètement raté leur mission donquichottesque, ils sont maintenant confrontés au désespoir total, tandis que le monde s’effondre autour d’eux. Alors qu’ils n’ont plus rien à perdre, ils décident de fuir, en construisant un vaisseau spatial intergalactique de fortune afin de partir à la recherche de la vie dans une autre galaxie.
En tant qu’anciens anti-héros, amis
Spine Of Desire : Wounds without tears, out of one skin in diamonds and shit est une représentation intime, qui s’appuie sur des histoires individuelles et collectives, dans le but de créer une expérience qui fait intervenir des éléments sonores, visuels, spatiaux et chorégraphiques.
La dernière œuvre de Stanley Ollivier prend comme point de départ le pouvoir de construction communautaire des espaces d’appartenance des PANDC, afin de reformuler les approches chorégraphiques familières. Accompagné des artistes tels que Lily Brieu Nguyen et Mamadou Wagué, le collectif explore la réalité quotidienne, ainsi que les changements sociaux à travers un langage chorégraphique, lequel reflète les interrelations entre l’intime et le corps, en vue de créer un espace gardé et sécurisé.
Lors de leur prochain spectacle, Stéphanie Kayal et Abed Kobeissy revisitent leur duo de justiciers déchus de leur œuvre récente Galactic Crush. Après avoir complètement raté leur mission donquichottesque, ils sont maintenant confrontés au désespoir total, tandis que le monde s’effondre autour d’eux. Alors qu’ils n’ont plus rien à perdre, ils décident de fuir, en construisant un vaisseau spatial intergalactique de fortune afin de partir à la recherche de la vie dans une autre galaxie.
En tant qu’anciens anti-héros, amis
Paula Almirón
The River and The Devil
Ohme's exhibition: Uncharted
The River and The Devil invite le public à pénétrer dans les ruines d’une rivière en voie de disparition.
On raconte que pendant l’époque coloniale, sur l’Altiplano bolivien, le fleuve Desaguadero et sa nature incontrôlable furent diabolisés par les colons comme « le Diable ». Depuis lors, le fleuve s’est asséché, se transformant de l’eau au sel après des siècles d’extraction continue. En réimaginant le Diable non pas comme une force destructrice mais comme le gardien du fleuve, The River and the Devil explore la résilience et les vestiges d’histoires fragmentées. Le fleuve s’est brisé en morceaux, se dissimulant et s’approchant de
Spine Of Desire : Wounds without tears, out of one skin in diamonds and shit est une représentation intime, qui s’appuie sur des histoires individuelles et collectives, dans le but de créer une expérience qui fait intervenir des éléments sonores, visuels, spatiaux et chorégraphiques.
La dernière œuvre de Stanley Ollivier prend comme point de départ le pouvoir de construction communautaire des espaces d’appartenance des PANDC, afin de reformuler les approches chorégraphiques familières. Accompagné des artistes tels que Lily Brieu Nguyen et Mamadou Wagué, le collectif explore la réalité quotidienne, ainsi que les changements sociaux à travers un langage chorégraphique, lequel reflète les interrelations entre l’intime et le corps, en vue de créer un espace gardé et sécurisé.
Lors de leur prochain spectacle, Stéphanie Kayal et Abed Kobeissy revisitent leur duo de justiciers déchus de leur œuvre récente Galactic Crush. Après avoir complètement raté leur mission donquichottesque, ils sont maintenant confrontés au désespoir total, tandis que le monde s’effondre autour d’eux. Alors qu’ils n’ont plus rien à perdre, ils décident de fuir, en construisant un vaisseau spatial intergalactique de fortune afin de partir à la recherche de la vie dans une autre galaxie.
En tant qu’anciens anti-héros, amis
Imaginez, un univers de science-fiction inspiré par le reggaeton, la danse urbaine perreo, l’expérience linguistique de la vie quotidienne avec une compréhension approximative de l’anglais, et le lien historique entre l’Amérique centrale et l’exportation de fruits exotiques.
Tel est le monde invoqué par « Flesh can’t can’ t not’t ’tis flesh h…. » une performance multisensorielle où se côtoient musique live, projection de textes, danse et sculpture. Deux corps enflammés nous guident à travers les paysages d’un monde étranger, pour retracer les migrations douces-amères entre Sud et Nord, ainsi qu’une partie de l’Histoire dans les régions d’Amérique centrale.
Pour écouter la playlist de Mario, cliquez ici.
Lors de leur prochain spectacle, Stéphanie Kayal et Abed Kobeissy revisitent leur duo de justiciers déchus de leur œuvre récente Galactic Crush. Après avoir complètement raté leur mission donquichottesque, ils sont maintenant confrontés au désespoir total, tandis que le monde s’effondre autour d’eux. Alors qu’ils n’ont plus rien à perdre, ils décident de fuir, en construisant un vaisseau spatial intergalactique de fortune afin de partir à la recherche de la vie dans une autre galaxie.
En tant qu’anciens anti-héros, amis
Stanley Ollivier
Spine of Desire: Wounds without tears, out of one skin in diamonds and shit
December Dance — KAAP
Spine Of Desire : Wounds without tears, out of one skin in diamonds and shit est une représentation intime, qui s’appuie sur des histoires individuelles et collectives, dans le but de créer une expérience qui fait intervenir des éléments sonores, visuels, spatiaux et chorégraphiques.
La dernière œuvre de Stanley Ollivier prend comme point de départ le pouvoir de construction communautaire des espaces d’appartenance des PANDC, afin de reformuler les approches chorégraphiques familières. Accompagné des artistes tels que Lily Brieu Nguyen et Mamadou Wagué, le collectif explore la réalité quotidienne, ainsi que les changements sociaux à travers un langage chorégraphique, lequel reflète les interrelations entre l’intime et le corps, en vue de créer un espace gardé et sécurisé.
Spine Of Desire : Wounds without tears, out of one skin in diamonds and shit est une représentation intime, qui s’appuie sur des histoires individuelles et collectives, dans le but de créer une expérience qui fait intervenir des éléments sonores, visuels, spatiaux et chorégraphiques.
La dernière œuvre de Stanley Ollivier prend comme point de départ le pouvoir de construction communautaire des espaces d’appartenance des PANDC, afin de reformuler les approches chorégraphiques familières. Accompagné des artistes tels que Lily Brieu Nguyen et Mamadou Wagué, le collectif explore la réalité quotidienne, ainsi que les changements sociaux à travers un langage chorégraphique, lequel reflète les interrelations entre l’intime et le corps, en vue de créer un espace gardé et sécurisé.